Soumise, sinon rien. (12)
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: xicemanx, Source: Xstory
La nuit fut longue et reposante.
Elle s’était endormie dans mes bras.
Le lendemain matin, je sentis une bien agréable sensation me sortir de ma torpeur.
Steph était en train de me réveiller, gentiment, en me prodiguant ma pipe matinale.
J’ouvrais les yeux et lui caressa la tête.
— Bonjour toi.
— Mhhbonjourmmmmhh...
— Vas-y, suce-moi bien, bonne petite pute accro au jus de couilles. Vas-y. Viens prendre tes protéines matinales.
Plus les pipes passaient, meilleure elle était devenue dans sa pratique. Si bien qu’au bout de sept/huit minutes, je lui lâchai ma crème dans la bouche, qu’elle avala aussitôt.
— Miam. Merci Fabien. Tu sais, c’est vrai. Je crois que tu as raison. Je deviens accro au sperme. Surtout au tien.
— Tu ne peux pas me faire plus plaisir.
— Dis, on fait quoi aujourd’hui ?
— Alors, pour toi, c’est journée blanche. Tu peux faire ce que tu veux. De mon côté, j’ai quelques obligations familiales. Je pars vers 11h30 et je rentrerai vers 17n00.
— Et je fais quoi, moi ??
— Ce que tu veux... A moins que tu ne préfères que je t’attache pour le reste de la journée. Il fait beau. Profite, va prendre l’air, va te baigner, profite de la piscine de la résidence. Va faire du sport. Comme tu veux.
— Tu ne veux pas m’emmener avec toi ?
— Non Steph, c’est encore trop tôt. Ma famille ne comprendrait pas. Mais bientôt, oui. Aujourd’hui, profite. C’est pas toutes les semaines que tu auras du temps de libre. OK ?
— Ok, OK. Tu as ...
... raison. Je vais aller faire bronzette à la piscine et faire un peu de sport. Je peux avoir mon téléphone pour appeler ma famille, mes amis ?
— Oui, tu l’auras. Par contre, pour la piscine, c’est topless, évidemment. Et si tu sors, tu mettras ta robe blanche, moulante. Bien entendu, je te rappelle que les sous-vêtements sont proscrits !
— Evidemment !!!
— Tiens, voilà ton téléphone. Pour ton info, j’ai envoyé une photo de toi à ton ex.
— Mouais. Ce n’était pas la peine...!!
— J’avais juste envie de lui montrer à côté de quoi il était passé.
— Oh, mon Dieu ! C’est la photo que tu lui as envoyée ? me dit-elle en me montrant dans ses SMS, la photo d’elle, à quatre pattes avec la trayeuse sur les seins.
— Oui, c’est ça ! T’a-t-il répondu ?
— Oui. Je te le lis. "Pauvre Steph. Tu es tombée bien bas. Je ne te reconnais même pas. Qu’as-tu fait ? Heureusement qu’on s’est séparés, car je ne vois pas ce que j’aurais pu faire avec une trainée pareille. T’es vraiment qu’une grosse pute ! Honte à toi !!"
— Pas content le Marc !!!
— Non, pas vraiment.
— Tu sais quoi, on va l’inviter à diner un de ces quatre, histoire que tu t’expliques clairement avec lui. Qu’en penses-tu ?
— C’est pas la peine. Je n’ai plus rien à lui dire.
— Eh bien moi, je trouve que ça pourrait être intéressant. Donc, je vais lui balancer une invitation. Après, il accepte ou il décline... Mais je vais le faire.
— Comme tu voudras Fabien.
— Bon, sur ce, je vais me prendre un p’tit ...