Accueil des nantis 2 Lili est-elle fidèle désormais ?
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... explosion de joie, à une larme d’émotion. Non…Elle est impassible. J’ai mal choisi mon jour. Je dérange ses plans.
- Tu as réfléchi pendant six ans et tu attends peut-être une réponse immédiate.
- C’est trop tôt ou trop tard ? Tu ne veux plus. Pardon, je pensais…excuse-moi. Oublie…Excuse mon audace.
- Le gros idiot, bien sûr que j’accepte. Mon amour. Ouf, j’ai eu tellement peur. C’est ma bague de fiançailles, elle est magnifique. Oh! Que je suis heureuse. Rentrons vite, j’ai une folle envie de toi.
Son visage se détend, ses yeux brillent, elle pose sa main sur la mienne, fixe mes yeux, la larme est là. Emu je demande
- De quoi as-tu eu peur ?
- Que tu m’annonces une rupture. J’en mourrais. Oh ! Merci, c’est le plus beau soir de ma vie. Si romantique, à Paris.
Dans notre chambre, Lili tire les tentures, baisse la lumière, se déshabille à moitié, elle est trop pressée de faire l’amour pour prendre le temps d’enlever son soutien-gorge ou son string. Nos baisers retrouvent une saveur nouvelle. Nous nous étreignons, mais Lili n’oublie pas son travail. Elle pousse les feux, se hâte trop visiblement
- Chéri, nous avons peu de temps. Veux-tu faire attention à ma coiffure, les autres n’ont pas besoin de savoir et je dois les rejoindre pour le boulot. Que dis-tu d’une levrette maintenant ? Nous reprendrons à mon retour. Ça ira comme ça, mes fesses sont assez hautes, pousse le linge sur le côté. Viens, prends-moi.
Elle est chaude, remue son popotin, creuse ...
... les reins, arrondit le dos. Ma femme, comme je l’aime. Elle est ma femme. Je ne peux pas m’empêcher de constater :
- Je le disais bien, l’autre Benjamin t’a pincé la fesse. Il a laissé une marque de pinçon là.
- Le crétin ! Quel serin. Un pinçon, dis-tu ? Je me plaindrai à Henri. Ce jeune con doit apprendre à me respecter.
- Henri exigera des preuves. Tu les lui fournirais en lui montrant de nouveau ton cul ?
- Cesse de me taquiner si tu veux devenir mon mari. Couche-toi sur le dos, j’ai encore envie de toi. Ma chevelure ne risque rien dans cette position et je peux t’embrasser en même temps. Je porterai ton nom ? Mon amour.
Elle caracole sur moi avec légèreté, exécute des demi tours autour de ma verge, m’offre vue sur les rondeurs fessières, revient frotter la dentelle du soutien-gorge sur mon nez, s’échauffe, perd le contrôle de sa respiration, transpire et mouille mon visage de sa sueur, enfin Lili décolle, geint de plaisir et s’écrase sur mon torse en feulant.
On frappe à la porte. D’un bond Lili s’arrache à mon pieu.
- J’arrive ! lance-t-elle bien fort.
Pour moi elle murmure
- Reste couché, mon mari, mon mari, mon mari…Oh! Toi, mon mari.
Elle court à la douche, fait couler l’eau, revient dans le drap de bain, se penche m’embrasse encore et rit ; mon mari, mon mari…Elle se vêt de linge frais mais ne cache pas ses fesses. Je les adore. La vue de ses seins me manque. Son pubis rasé a disparu dans un string et je suis frustré par sa façon de me ...