1. COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (4/16)


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... regarde dormir, évitant de me réveiller, à quel moment ais-je mit ma main sur sa verge, comment est-elle sortie de son pantalon alors qu’il la remit sur lui.
    
    • Mais, qu’as-tu sur toi, tu es couvert de rouge, mais c’est du sang, c’est comme moi tous les mois quand j’ai mes choses, comme le dit mère.
    
    • Quand nous descendrons, tu fermeras les yeux, car je pense que ce que j’ai été obligé de faire doit être difficile à regarder.
    
    • Je veux te faire sortir ton sperme.
    
    • Tu cherches à toute force que je te fesse, debout fainéante, la route nous attend, à la grâce de Dieu.
    
    Je me signe à l’évocation du très haut, j’en profite pour lui faire une prière rapide et cinq minutes après, je descends l’échelle de la grange où nous avions trouvé refuge.
    
    • Tiens, met cela au fond de ta poche, je les ai récupérés dans ma ceinture pour te les donner, tu peux en avoir besoin si nous nous trouvons séparer.
    
    Il me met dans la main deux pièces, deux Louis d’or, c’est la première fois de ma vie que j’en vois, car dans notre milieu, c’est l’homme qui s’occupe de l’argent comme le Duc qui semble le garder autour de son ventre.
    
    Nous descendons.
    
    • Ah ! Ah ! Ah !
    
    • Chute, je t’ai dit de fermer les yeux.
    
    • C’est toi qui as fait cela ?
    
    • Qui, veux-tu que ce soit, quand nous avons joui, ils devaient arriver pour venir se coucher dans notre grange, mais ils ont fait du bruit que j'aie entendus alors je t’ai quitté après avoir remis mon pantalon et récupérer ma dague.
    
    En ...
    ... route.
    
    • Et le sang sur toi ?
    
    • Si nous rencontrons des insurgés, ils penseront que nous venons de faire passer de vie à trépas un certain nombre des gens de notre castre et nous serons leurs héros.
    
    Nous marchons, marchons, marchons vers l’ouest évitant les fermes et les villages, nous buvons de l’eau dans les ruisseaux et nous mangeons des baies et autres mûres encore vertes, car il est trop tôt dans la saison.
    
    • Regarde, un monastère en haut de cette colline, ils doivent respecter les curées et les bonnes sœurs, allons chercher de l’aide.
    
    Nous entendons des voix de femme qui chantent à l’intérieur, la porte à une cloche que nous faisons tinter.
    
    • Bonjour ma sœur, pouvez-vous nous accorder l’hospitalité ?
    
    • Je vais appeler la mère supérieure.
    
    Le petit judas qu’elle a ouvert se referme et environ dix minutes après, il s’ouvre de nouveau avec pendant ce temps beaucoup d’anxiété, car nous sommes complétement à découvert.
    
    • Que cherchez-vous messieurs ?
    
    • Le gîte.
    
    • Impossibles, les seuls hommes qui entrent dans ce couvent sont notre évêque ou notre confesseur qui monte du village voisin un jour par semaine, il m’est impossible de faire entrer deux hommes parmi nous.
    
    • Ma mère, cette jeune personne est une jeune femme qui fuit avec moi la barbarie qui s’est emparée de nos gens, regardez ses seins.
    
    Le Duc attrape ma chemise qu’il ouvre d’une seule main.
    
    • Voyez.
    
    • J’ouvre à cette jeune fille que nous allons cacher pendant quelques jours ...