COLLECTION SOUMISE. Fille de… (14/16) - Histoires de Sexe

COLLECTION SOUMISE. Fille de… (14/16)

... voilà, toi qui es l’assistante de notre ami Joseph, c’est dur à te faire ma demande.

Je pose mon verre, je pousse mes fesses de quelques centimètres me rapprochant de ma proie et je lui prends les mains.

• N’hésite pas, dit moi, ce qui a l’air de te chagriner.

• Tu as raison, soyons directe, j’ai l’impression que Pierre a une maîtresse.

Merde, elle sait pour nous et va sortir un flingue de sous les coussins du canapé et me faire sauter la tête.

• Qu’est-ce qu'il te fait dire cela ?

• Bien sûr, son travail le fait voyager et il rentre tard, de ses séances de nuit, voir même pas du tout quand cela s’éternise, mais ce n’est qu’une impression, il me délaisse.

• Faite-vous encore l’amour ?

• Rarement bien sûr hier nous sommes allés au restaurant et en rentrant nous avons fait l’amour sur ce canapé.

Tiens, il me disait qu'il ne la touchait plus tout à l’heure, ce gros mensonge va lui couter cher, fort cher, à moi Tahiti en plus de Bali, d'autant que ce premier voyage ne nous coutera pas grand-chose.

• Tu dois avoir de mauvaises intuitions, je connais un peu ton mari, c’est loin d’être son genre, je côtoie un grand nombre de bofs, certains n’hésitent pas à nous mettre la main aux fesses, c’est loin d’être son cas.

Je lâche une de ses mains et viens lui caresser la joue, elle couche sa tête pour la reposer dans le creux qu’elle forme.

• Mais dit, c’est pour cela que tu es toujours triste, tu sais les hommes, ça va, ça vient, il faut savoir leur ...

... faire tourner la tête et s’en servir plus qu’ils ne se servent de nous.

Tu lui fais voir ton amour, il est certain de t’avoir à sa paluche.

• Tu sais, j’étais vierge quand nous nous sommes mariés, nous avons fait une vraie nuit de noces tous les deux.

Qui est le faux cul, elle ou lui, j’ai bien entendu qu’elle se gouinait avant son mariage.

• Aucune aventure même féminine avant ton mariage.

• Qui te l’a dit, je n’aurais pas dû te parler de mes soupçons.

• Tout doux ma belle, j’ignore tout, simplement, j’ai passé la nuit avec deux copines et nous ne sommes pas économisés.

• Tu couches avec deux filles, mais tu es, pardon, j’allais avoir des propos déplacés, tu fais bien ce que tu veux de ta vie.

• Tu allais dire que je suis une salope, je le revendique, tu sais que toi aussi tu me plais malgré notre différence d’âge.

Disant ces paroles, je lui prends la tête et après une hésitation de sa part, je l’embrasse.

Pas sur la joue, en plein sur ses lèvres, elle hésite à les ouvrir, mais quand elle cède, je suis satisfaite du film que je tourne, doublé par le plaisir que je prends Marie étant un bon coup avec les femmes.

Je sens sa main qui vient entre mes jambes, je mouille, faire tomber dans mes filets cette bourgeoise mal baisée ou non baisée selon les dires dès un ou des autres.

Rapidement, je profite de mon avantage pour attaquer ses œufs sur le plat, mais avec des pointes étrangement développées, je pourrais dire que comme ses enfants, j’ai sucé ...