1. Avec des amies comme ça… (21)


    Datte: 24/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... chatte… »
    
    Je rougissais, et quelque part je me rendais compte à quel point tout cela était cruel. C’étaient mes amies, je dépendais d’elles, j’étais prête à tout pour elles… Alors pourquoi m’infligeaient-elles ça ? C’était vraiment… Méchant. Je voulais retrouver ma vie d’avant, quand on ne me demandait pas de faire toutes ces choses… Mais évidemment, ce n’était plus possible, il était trop tard pour ça... Je fis donc ce que j’avais à faire et lisais les dernières réponses du sondage :
    
    « Neuvième question… "Si je vous suçais, préfériez-vous me gicler à la gueule ou que j’avale votre foutre ?" Quatre ont répondu qu’ils préféraient que j’avale, et dix qu’ils adoreraient m’asperger ma "face de pute" de leur sperme… Cependant, la moitié d’entre eux ont ensuite précisé qu’après l’avoir fait pour se marrer, ils préféraient ensuite me décharger leur sauce dans la gorge.
    
    — Hum… Donc, ça fait plus des deux tiers qui préfèrent qu’on leur avale leur jus… J’en étais sûr, affirma Jeanne.
    
    — Dixième et dernière question. Je devais leur demander de penser au mot qui me décrivait le mieux ; puis de l’écrire sur mon corps à l’endroit de leur choix, sans que je regarde. Pour cela je leur ai confié le feutre noir indélébile que vous m’aviez remis.
    
    — On voit ça... Y en pas mal d’apparents, t’as l’aspect d’un mur à graffiti... ...
    ... »
    
    D’abord, elles firent le compte de ce qui était visible, chaque fois commentant le mot, trouvant qu’il était bien trouvé et tout à fait adapté à ma personne. J’avais « conne » écrit sur le front, « salope » sur la jambe gauche, « pute » sur celle de droite. Elles avaient déjà eu l’occasion en me fessant de voir « trou à pine » avec deux flèches indiquant mon trou du cul. Mon ventre était marqué de « Sac à foutre. » Sur le bras droit « Chienne » et « Truie » sur le gauche. Mais bien sûr, mes amies n’allaient pas se contenter de ce qui était visible. Elles me demandèrent de soulever chacun de mes vêtements pour montrer ce qui était encore dissimulé. Au-dessus de ma chatte « garage à bite ». Sur ma poitrine commençant sur un nichon et finissant sur l’autre était inscrit « Grosse Pétasse », dans mon dos « Paillasse à sperme » et pour finir, on avait dessinée une bite pleine de poil sur une de mes joues.
    
    Mes amies glapissaient de joie à la découverte de chaque nouvelle inscription. Trouvant que j’étais exactement comme il était écrit. Je me rendais compte que dorénavant j’étais vraiment marqué comme la salope du lycée, tout le monde le savait, et personne ne l’oublierait. Je ne pouvais aller que droit dans le mur, et pour la première fois, je me demandais si, tant qu’à me crasher, je ne pouvais pas en emmener mes amies avec moi… 
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