Litige immobilier (3)
Datte: 23/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Alexandreul, Source: Xstory
... et le portail, et une murette qui semble faire tout le tour, ce qui laisse penser à un domaine assez grand avec jardin.
J’arrive devant le portail, je vois un interphone. Je sonne.
— Oui ?
— B... Bonjour c’est... Alexandre...
— Alexandre ? Alexandre qui ?
— A... Alexandre LONBAR...
— Connais pas, désolée.
J’entends le bruit de l’interphone qui raccroche. Je me sens totalement idiot. Je regarde l’heure : 9h01.
Je reçois un SMS de Cindy :
— Alors, tu es arrivé, c’est bon ? Tu es avec Laura ?
— Non. Je suis devant le portail, j’ai sonné mais elle m’a raccroché au nez.
— Quoi ? Arrête de te foutre de moi, j’espère que tu plaisantes !
— Non, je vous assure. Je me suis présenté, et elle m’a dit qu’elle me connaissait pas, et elle a raccroché.
— Tu lui as dit quoi ?
— Beh, je lui ai dit que j’étais Alexandre.
— Et tu crois qu’elle se souvient de ton nom ?
— Beh visiblement non.
— C’est normal, elle se souvient certainement plus qui tu es, les prénoms, on les oublie.
— Je fais quoi alors ?
— Présente-toi, mais en donnant ta description.
— Ma description ?
— Oui, tu es quoi ?
— Son larbin ?
— Beh oui, voilà. Donc tu dis que tu es son larbin. Et si elle voit toujours pas, insiste, convaincs-la. Si tu n’y arrives pas, je te préviens, c’est toi qui seras puni, pas elle.
— Oui Madame. Compris. Merci. J’essaye.
Je sonne à nouveau à l’interphone.
— Oui ?
— re... rebonjour Madame, c’est Alexandre... enfin... ...
... votre larbin...
— Mon larbin ?... que voulez-vous dire ?
— C’est moi qui dois venir passer le week-end pour être votre larbin Madame, sous les ordres de Cindy, la conseillère de Bouygues, c’est moi qui suis puni pour avoir giclé dans le bureau devant vous et Cindy, vous vous souvenez ?
A cet instant, j’entends rire à l’autre bout de l’interphone.
La sonnerie de déverrouillage se fait entendre, le portail est ouvert. Une voix dit de l’interphone :
— Avance, longe l’allée jusqu’à la porte Blanche avec la poignée dorée, sur la terrasse.
J’avance le long de l’allée, un chemin fait de petits cailloux qui donne vers la maison, une grande bâtisse à deux étages, avec une belle terrasse, et sur les côtés, un grand jardin qui entoure la maison et semble se prolonger derrière la bâtisse, mais je ne vois pas d’où je suis.
J’arrive sur la terrasse, je m’approche de la porte blanche, et je sonne.
Je patiente une dizaine de secondes, puis la porte s’ouvre.
Je ne vois personne, mais j’entends une voix qui vient de l’intérieur et qui me crie de rentrer.
J’avance de quelques pas.
— Ferme la porte !
Une voix féminine autoritaire me l’ordonne. Je referme la porte, puis la même voix me dit :
— Avance jusqu’au tapis au centre de la pièce.
Je suis dans le noir, seul le tapis est éclairé par une faible lumière rouge. J’arrive au niveau du tapis, et d’un coup, la voix me crie :
— Alors, comme ça, c’est toi le larbin ? Tu es ici parce que tu as giclé comme un ...