Le plaisir après la déconvenue - Histoires de Sexe

Le plaisir après la déconvenue

... tissu humide qui se révèle être un string. Elle reste presque impassible à mes caresses si ce n’est des sursauts quand mes doigts effleurent son clitoris. Elle ne relâche pas ses efforts, sa bouche va-et-vient très vite autour de mon engin et je sens rapidement monter la jouissance en moi. Je lui annonce mais elle continue consciencieusement à me sucer. Je me laisse donc aller et savoure pleinement cette fellation inattendue. Assez vite, je me déverse dans sa bouche mais elle continue inlassablement à me lécher et avale tout mon sperme. Une fois mon sexe nettoyé, elle se redresse et me regarde, l’air gênée.

— Je ne sais pas ce qui m’a pris… Je vais y aller.

Elle se relève et réajuste ses vêtements en faisant redescendre sa robe le long de ses cuisses. Je referme rapidement mon pantalon et la suis vers la porte d’entrée, sans dire un mot. Elle ouvre la porte et s’apprête à sortir. Cependant, elle reste immobile sur le pas de la porte. Puis elle se retourne vers moi et plante ses yeux dans les miens tout en refermant la porte :

— Répond-moi franchement, je te plais ?
— Bien sûr !
— Tu as envie de moi, ici et maintenant ?
— Euh oui…mais on ne peut pas faire ça…
— Tu crois que mon mari avait le droit de me tromper ?
— Euh non… bien sûr.
— Alors je te propose d’être ma vengeance !
— Oui, mais si ça se sait ?
— Personne n’en saura rien, nous allons faire l’amour et puis après, nous ferons comme si de rien n’était. Nous sommes d’accord ?
— Oui…

Sans autre ...

... réponse, elle se pend à mon cou et m’embrasse avec force. Ma langue va à la rencontre de la sienne. Nous nous embrassons fougueusement pendant de longues minutes alors que mes mains caressent son corps. Alors que j’essaie de défaire le zip de sa robe, elle m’arrête et me murmure :

— Pas ici, allons dans ta chambre.

Je l’attrape par la main et l’entraîne avec moi. Je ferme la porte à clé et l’embrasse à nouveau. Elle me force à m’asseoir sur mon lit et reste debout devant moi. Elle défait lentement la fermeture éclair de sa robe et la fait glisser le long de ses jambes puis enlève son sous-pull. Les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches, elle n’est plus vêtue que de ses bas noirs et d’un ensemble string et soutien-gorge rouge. Je suis sous le charme et la regarde sans rien dire.

— Alors elle te plait la vieille ?
— D’une tu n’es pas vieille, et de deux, oui tu me plais énormément !
— Alors à poil, et vite !

Je me relève et ôte mes vêtements aussi vite que possible.

— Tu es plutôt bien foutu. Assied-toi.

Je me rassieds sur le bord du lit et Anita vient me chevaucher. Nous nous embrassons langoureusement et mes mains parcourent son dos, ses fesses, ses jambes. Je fais rapidement sauter l’attache de son soutien-gorge qui tombe sur mes cuisses. Je la repousse un peu en arrière et ma bouche va prendre possession de ses seins. Je joue avec les pointes de ses tétons durcis et lui arrache de petits cris de plaisirs.

Au bout d’un moment, elle se relève ...