La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°970)
Datte: 23/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... laisse.
- Non, pas toi ! Toi tu viens avec moi. Les autres, vous n’avez que le repos comme occupation possible, et réfléchir.
Et il entraîna la soumise à sa suite, jusqu’aux cuisines.
- Puisque tu étais cuisinière chez le précédent Maître qui t’a soumise, ici tu seras principalement aux ordres de notre bien aimée cuisinière que voici. Marie, je te présente la chienne Zao que Monsieur le Marquis vient d’acquérir.
Le Majordome, qui pensait avoir cerné la chienne, avait fait exprès de laisser sous-entendre qu’elle n’appartenait plus du tout à Wangdak pour la pousser dans ses retranchements. Ce qui réussit très bien, car Zao se redressa immédiatement sur ses genoux pour protester qu’elle n’était ici que temporairement et que le Châtelain n’avait pas intérêt à la considérer de trop comme étant Sa propriété car elle ne le serait jamais ! Ce qui lui valut un aller-retour de baffes depuis la main de Marie, qui ne supportait pas que l’on puisse médire du Maître des lieux.
- Il va falloir que tu te contiennes et que tu changes de comportement ! Je ne pense pas qu’un Dominant, ami de Monsieur le Marquis, puisse tolérer une chienne aussi mal éduquée ! Si tu veux pouvoir un jour regagner le Tibet, change très vite d’attitude, petite salope. (Et sous le regard flamboyant de colère de l’intéressée, elle rajouta :) Oui ici tu ne seras jamais privilégiée, et il va falloir que tu acceptes de devenir ce que tu es sensée être, une chienne en chaleur, une salope, une pute qui doit ...
... obéir et satisfaire n’importe quel Dominant, qui sera prise par tous ses trous à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, dans n’importe quelle position ! Et pour commencer, viens me satisfaire moi !
Alors sans autre préambule, Marie souleva sa jupe et son tablier, puis Walter avança de force la tête de Zao entre les cuisses de la cuisinière et la maintint jusqu’à ce qu’elle se décide à sortir sa langue et à l’activer sur le clito et entre les lèvres intimes odorantes qui se présentaient à elle. Elle n’avait jamais eu à faire cela. Wangdak ne l’avait que peu souvent mise à disposition de quelqu’un et jamais avec une femme. Elle était donc assez hésitante, un peu écœurée. Marie la saisit par les cheveux, bougeant sa tête pour la guider. Sur un signe qu’elle fit, Walter lui appliqua quelques coups de badines sur le cul pour qu’elle mette un peu plus de cœur à l’ouvrage. Au bout d’un long moment où la soumise léchait tant bien que mal ayant la tête fermement maintenue entre les cuisses de Marie la cuisinière, celle-ci finit par laisser éclater un orgasme, inondant le visage de Zao, tandis que le Majordome accompagnait une fessée de ces mots :
- On va te dresser, nous, ne t’inquiète pas. On va te dresser, la salope de chienne !
Puis sans avoir le droit de se laver le visage, la cuisinière l’enchaîna dans le cagibi de la cuisine pour le reste de la journée, ne voyant la lumière que lorsque la porte s’ouvrait au moment de manger et de boire… ’’
Ainsi s’achevait le ...