1. PAIRE ET IMPER


    Datte: 23/01/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... fais.
    
    Il s’approche lentement.
    
    Il ne semble pas méchant. Il a une bouille ronde, chauve, et porte des lunettes. C’est l’archétype du vieux pervers.
    
    Il s’arrête à trois mètres de moi. Il me contemple en caressant sa queue gonflée. Je vois distinctement son gland violacé où goutte une substance luisante.
    
    Sa respiration est courte, ses yeux brillants.
    
    Pas de doute il est très excité.
    
    Je m’apprête à lui dire de partir et de me laisser tranquille, quand soudain, il pousse un petit râle.
    
    Il se branle plus fort, s’avance d’encore un mètre et jouit à mes pieds en de longs jets blanchâtres.
    
    Une fois fait, il se sauve comme un voleur, sans même prendre le temps de refermer son imper.
    
    Mes jambes tremblent, flageolent.
    
    Putain ! Il m’a vraiment foutu les jetons.
    
    Du coup, ma promenade est finie, je rentre chez moi.
    
    Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. A cause de la chaleur bien sûr, mais également à cause de cet homme au bois.
    
    Je me suis repassé le film dans ma tête, me masturbant imaginant plusieurs scenarios dont je ne parlerais jamais.
    
    Il fait toujours très lourd. Il n’est pas tombé une seule goutte d’eau.
    
    Habillée comme hier, je reviens sur les lieux de ma mésaventure, comme pour l’exorciser.
    
    Je m’assois au même endroit. Sur le sol ou les feuilles sont plus sèches, mais plus aucune trace du pervers.
    
    Je souris. Qu’est-ce que j’espérais en revenant ici. Je suis vraiment idiote.
    
    Mais au moment de partir, tout comme hier, l’homme surgit ...
    ... du buisson.
    
    Je suis étonnée de le revoir, mais je n’ai plus peur. Lui non plus car il s’approche plus vite et plus près. Il pourrait me toucher en tendant la main.
    
    Son sexe est dur et très nervuré. Ses yeux écarquillés me caressent de haut en bas.
    
    Les fantasmes de ma nuit me ratt****nt. Je me sens troublée et excitée.
    
    Je sais que c’est de la folie, mais j’ai envie de faire plaisir à cet homme.
    
    Je déboutonne lentement ma robe et l’ouvre entièrement. Assise sur le bord de la poutre, j’écarte les jambes en grand, les plaçant de part et d’autre des siennes.
    
    Encouragé, il fait encore un pas. Son dard est face à mes seins que je caresse et malaxe.
    
    Je suis surprise qu’il ne tente pas de me toucher. Peut être ne veut t’il pas gâcher le cadeau que je lui fais en allant plus loin, trop loin ?
    
    Alors, c’est moi qui vais plus loin.
    
    Je glisse une de mes mains vers ma chatte et je m’introduis deux doigts. De ma main libre je… prends ses couilles et je les presse tendrement.
    
    Je ne m’étais même pas rendu compte qu’il avait le sexe aussi lisse qu'un cochon.
    
    Pour la première fois, j’entends le son de sa voix.
    
    « Ho oui ! C’est bon ! Continuez ! Ne vous arrêtez pas ! Hummmm ! »
    
    Sa voix est grave et chaude.
    
    « Harggg ! »
    
    Trop tard. Deux puissantes giclées blanchâtres viennent éclabousser et s'écraser sur mes seins et mon ventre.
    
    Dommage, j’aurais aimé parler avec cet homme, mais vidé, il a préféré s’en aller aussi vite qu'il m'est apparu.
    
    Je reste ...
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