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La coupe du Monde - Chapitre 3
Datte: 22/01/2019, Catégories: Grp, hplusag, fplusag, jeunes, soubrette, jalousie, pénétratio, Partouze / Groupe délire, Humour Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... pointe sa queue et par chance place le gland sur l’anus juste au moment où Odile, sous l’emprise de la jouissance, fait un bond en arrière. — Aoouuh !… Qu’est-ce que tu me fais ? — Je crois que ton mari t’encule pendant que je te baise. — Oh ! Il n’oserait pas. Il n’en a pas le courage. — Euh… m’est avis que cette fois, il l’a trouvé, le courage. André pénètre à fond d’un violent coup de reins. — Aoouuh !… Attention ! — Ça t’apprendra… Han !… à baiser comme… Han !… une chienne. Odile est trop abasourdie pour éprouver de la douleur. Jamais elle n’aurait cru son mari capable d’un tel coup de force : lui faire subir une double pénétration ! Les deux verges dilatent son bas-ventre, mais elle est tout étonnée de le supporter. Elle aurait cru avoir beaucoup plus mal et commence à ressentir la montée du plaisir. Luc profondément fiché dans le vagin remue à peine, juste pour maintenir l’excitation. Ça lui fait drôle de sentir dans le conduit voisin la queue frotter contre la sienne, comme une masturbation, pense-t-il. Malgré la colère qui l’aiguillonne, ou peut-être à cause de cette colère, l’avocat ne maîtrise pas la montée du sperme. Quelques coups de reins suffisent à provoquer l’éjaculation et il s’écroule sur le tapis, le sexe en berne. De se sentir libérée déclenche la jouissance d’Odile qui reprend sa danse interrompue sur les cuisses de Luc. Ses seins volumineux ballottent et le garçon tente à chaque passage d’en happer le bout. L’intermède n’a pas ...
... déconcentré Jean et Ingrid. Elle a réussi à retourner la situation et chevauche le garçon un peu fatigué qui la laisse se dépenser tout en soutenant ses seins. Ils bousculent André. Il se lève péniblement et retourne s’asseoir à côté de sa fille. Il est effondré, même son coup de force se retourne contre lui. OooOOOooo Marc dans la cuisine trouve une boîte de pâté et se fait une tartine. Les bruits qui parviennent du salon le renseignent sur l’évolution de la situation. — Y n’ont pas encore fini ! C’est que j’ai besoin de me vider les couilles moi ! Je vais quand même pas me masturber. Il referme le réfrigérateur en maugréant. — Tiens, qu’est-ce que tu fais là, toi ? Une chatte se frotte, câline, contre ses jambes. Il la prend dans ses bras et la caresse. Elle ronronne. — Hein que tu aimes les caresses ! Tu es comme tes patronnes ! Le contact soyeux de la fourrure lui fait perdre la tête. — Si j’osais… non ! Il repose l’animal qui continue à se frotter contre ses jambes… OooOOOooo Dans le salon les halètements s’amplifient. Les paroles deviennent indistinctes, chacun ne s’exprime plus que par onomatopées : Aah !… Ouii !… Meuh !… Siii !… Aargh ! Tout à coup Odile pousse un cri strident : — Hiiiiii ! Sous la surprise les deux autres participants suspendent leurs efforts. — Ouiii !… Je pars !… Ooooh !… Hiiii !… Que c’est bon ! Son exemple entraîne Ingrid. — Aaaah ! Moi aussi ! Ça vient… Ouiii ! Continue !… André, à qui ces ...