1. Ils étaient cinq à Sète !


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Georges, Source: Hds

    ... nuit, alors avec deux potes nous vous avons trainés ici
    
    - Deux potes ? …..
    
    - Oui, deux amis pourquoi ?
    
    - Et …. Ils m’ont ….
    
    - Baisée aussi ? bien sûr ! une idée de ton mari dans un moment de lucidité
    
    - Un moment de lucidité ? mais vous dites qu’il était complètement soul ?
    
    - Ça l’a dégrisé lorsqu’il a vu nos mains visiter tes nichons et ton entrecuisse
    
    - Vous m’avez violée ?
    
    - Tu nous aguichais tellement que nous avons simplement exaucé tes désirs...et ils étaient nombreux ! tu es bonne et tu suce bien tu sais ? trois pipes complètes à la suite, chapeau !
    
    - Cachez votre verge s’il vous plait c’est indécent
    
    - Ben quoi ? je bande à nouveau ? c’est ta faute, le drap a glissé et je vois tout, je reconnais que tu as été bien graissée, ta chatte recrache encore de la purée !
    
    - Appelez mon mari !
    
    - Non, je ne veux pas le déranger, il est en bas en compagnie de mes deux amis
    
    - Ne me dites pas que ?
    
    - Qu’il s’est fait … baisé aussi ? hier soir il avait vachement envie lorsque nous te prenions a deux, mais avec l’alcool impossible de bander, alors un pote s’est sacrifié pour essayer de le faire bander et le faire patienter pendant qu’on s’occupaient de toi, ensuite je suis resté seul avec toi pour tirer encore quelques coups, ils sont partis ensemble, ce qu’ils ont fait après ne me regarde pas
    
    - Mais c’est complétement dingue ?
    
    - Je le confirme, bon ? regarde cette trique, je te prends comment ce matin aux aurores ?
    
    L’homme est à ...
    ... genoux près de moi, l’andouillette s’est rapidement transformée en un saucisson d’une taille impressionnante et je n’ai aucuns souvenirs d’accouplements ? comme hypnotisée par ce cobra qui balance sa tête de gauche à droite, je ne sais que répondre, sans que j’ai la force de lui interdire il pose une main sur mon sein droit maculé lui aussi de croutes douteuses, sans doute des restes de fellations, j’ai soudainement envie de tester l’image que renvoie le miroir du plafond que je n’ai certainement pas eu le temps d’apprécier cette nuit…
    
    - Écarte les cuisses Lydia
    
    - Vous connaissez mon prénom ?
    
    - Ton mari l’a assez gueulé lorsque nous défoncions tes trous
    
    - Mon mec est un salaud, me laisser en pâture à des inconnus, c’est odieux
    
    - Je reconnais que tu as raison, à présent que tu es consciente venge toi, relève les genoux, ma bite va laver l’affront
    
    - Combien de fois m’avez-vous sautée ?
    
    - HOOOOOUUUU ! impossible à dire, tu en demandais encore et encore et tu en redemande encore ! MMUUUUMMMM ! ta chatte est à point pour être emmanchée, bouge plus …rhhhhhaaaaaaaaaaaa quel délice ce con poisseux
    
    - HHHHoooooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii ! ça réveille mes muqueuses !
    
    - Tu vas jouir dans les deux minutes, comme hier, mais évite de gueuler aussi fort !
    
    Complètement enfoncé en moi, le moindre mouvement de son bassin m’arrache des soupirs ignobles de cocufiage, les images que me renvoient les miroirs vicieusement disposés dépasse toutes bienséances, je découvre ...