Clitorice était vierge
Datte: 22/01/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: Jpj, Source: Hds
... fente, de la source de ses plaisirs.
Son intimité tenait à la fois de la jeune fille prépubère, abricot gonflé mûr clair juteux dessinant son entre-jambe de chairs pleines et fermes, et de la femelle mature expérimentée parturiente, avec troubles circonvolutions sombres et plissées qui s’échappaient de fente, couvertes luisantes de sécrétions visqueuses et accueillantes.
Clitorice, tu portes bien ton nom.
Dans l’obscurité profonde de sa piaule, seulement ponctuée d’une minuscule led rouge de chargeur d’outil multimédia, je matais, sans vraiment le voir, son bitmini et me réjouissais d’avoir su, enfin, le dégotter.
Mes lèvres ma langue s’activaient et j’entendais à ses chants haut perchés que j’étais sur la bonne branche le bon registre. Je faisais rouler au creux du pointu de ma langue la tête minuscule toute mouillée et je sentais les peaux repoussées qui faisaient col roulé en présentation.
Elle avait levé les genoux et s’offrait à moi comme patiente ouverte sur table d’examen gynécologique.
Mes mains toutes mouillées avaient pris ses fesses pour les relever et je buvais au calice ses humeurs fluides.
Bien entendu, ce qui devait arriver arriva et à force de ...
... sucer le bouton j’ai déclenché son épanouissement. Elle a crié son bonheur et moi j’étais tout fier d’avoir été l’artisan de cette félicité.
Pensez, tant de semaines à la tripoter à la caresser sans jamais déclencher ni orgasme ni jouissance, puis brusquement, simplement parce qu’elle s’était fait dégager la moule des végétations envahissantes, au cabinet d’esthéticiennes d’à côté, le pied absolu, fulgurant et tonitruant.
J’en étais sur le cul.
Elle était tellement bien dans son être des trucs que nous venions de vivre ensemble de ma bouche de mes lèvres sur ses lèvres sur ses chairs pubiennes que l’envie lui a pris de s’ouvrir plus encore à moi.
Elle m’a happé de ses cuisses de ses talons et a tiré mes fesses de ses mains et j’étais en elle, doucement inexorablement.
Je n’ai pas entendu l’opercule craquer mais je l’ai senti se déchirer sur mon gland. Non pas de violence mais de tendresse.
Et moi qui jusqu’alors n’avait jamais giclé dans sa bouche tout au long de trois mois de pipes endiablées, moi j’ai senti ma bite hoqueter et déverser au creux d’elle mes trois mois de stock de spermatos et leur jus d’accompagnement.
Clitorice, sacré souvenir d’adolescence...