Je fantasme sur ma mère (1)
Datte: 22/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: sexag, Source: Xstory
... ne te permets pas, je n’aurais jamais dû accepter de te montrer. Arrête, reprends tes esprits.
Gisèle se démène pour essayer de se libérer, mais je lui attrape les poignets, lui mets les bras en croix et passe ma cuisse dans son entrejambe pour me frotter contre sa chatte.
La tenant fermement malgré sa forte volonté de se débattre et de se libérer, j’entreprends de lui sucer les mamelons qui sortent de son soutien-gorge.
— Arrête Adrien, tu ne vas tout de même pas violer ta propre mère ? Cesse ce jeu incestueux, je t’en prie.
Je délaisse sa poitrine pour lui plaquer ma bouche sur la sienne, je réussis à écarter ses lèvres, mais elle fait barrage avec ses dents. J’entreprends de la masturber vivement avec ma jambe. Je sens sa mouille à travers son string. Je lui maintiens toujours les poignets bras écartés, mais à force de lui branler la chatte avec ma cuisse, ça doit lui faire de l’effet, car elle se calme, ses dents se desserrent, je peux entrer ma langue et chercher la sienne et s’ensuit un long baiser fougueux où tout à tour, c’est elle qui prend l’initiative.
Je dessers l’étau de ses bras qui viennent m’enlacer le torse pour finir de me déshabiller.
Ma queue est au paroxysme de l’excitation.
— Caresse-moi les seins, viens me téter et donne-moi ta bite, je la veux en bouche, après, tu me baiseras. Traite-moi comme ta pute.
Ces mots sortant de la bouche de ma mère ont un effet d’excitation phénoménal.
— Oui ma salope de mère, tu vas avoir ta dose, ...
... je vais te défoncer.
— C’est bon quand tu me parles comme ça, continue, donne-moi ta queue.
J’ai droit à une fellation mémorable pendant qu’elle me caresse les couilles.
— Arrête maman, j’ai peur de partir, donne-moi ta chatte, je vais te prendre en levrette.
— Pendant cette partie, ne m’appelle pas « maman, appelle-moi « Gisèle. Viens me défoncer le con et donne-moi toute ta sauce dans mes entrailles quand tu jouiras ».
Avant de m’introduire, je cherche son clito avec mes doigts en écartant son string, elle est trempée de jus, la salope. Je ne peux résister à sucer cette chatte à travers sa touffe abondante et abondamment mouillée et me délecter de cette quantité importante de cyprine. Qu’il est bon le jus de ma mère !
— Viens, viens vite, baise-moi, baise-moi (j’ai déjà entendu cette petite musique à travers la porte de sa chambre) je sens que je vais jouir.
Je la pénètre donc bien profond et après un bon nombre de coups de boutoir, je sens ses doigts qui se crispent sur mon cul. Elle part dans un violent orgasme qui la fait trembler de tout son corps avec un cri qui emplit la maison. L’effet est immédiat pour moi aussi, je décharge toute ma semence dans son vagin et exténués, nos deux corps se séparent en restant côte à côte.
Au bout d’u moment de répit, c’est Gisèle qui rompt le silence.
— Alors mon Adrien, es-tu satisfait de ta maman ?
— Oh oui ! Je pensais que mes fantasmes resteraient à l’état de rêve. Si j’imaginais baiser ma mère, je ne ...