1. Une journée pas comme les autres


    Datte: 21/01/2019, Catégories: fhh, hplusag, couplus, inconnu, fépilée, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, init, couple+h, nature, Auteur: Gérard76, Source: Revebebe

    ... certain qu’elle sent mon trouble et s’en amuse. Je jette un coup d’œil vers son compagnon qui surveille les bouchons.
    
    — Oh, ne vous inquiétez pas, il n’est pas jaloux, me dit-elle.
    
    Elle est toujours accroupie, le chemisier très ouvert, puis elle se lève en étirant les jambes.
    
    — Vous voulez vous asseoir ?
    — Oh non, une serviette me suffirait, je préfère m’asseoir par terre.
    
    Je sors une sortie de bain de mon sac (il m’arrive de me baigner quand les poissons se font attendre). Elle la pose sur l’herbe en me tournant le dos, et là, plus de doute possible, non seulement aucun tissu ne masque son sexe, mais aucun poil non plus. J’ai le ventre serré par le désir. Marié depuis plus de trente ans, je n’ai jamais ressenti un désir aussi fort pour une autre femme ; même les films érotiques ou émissions coquines n’ont jamais provoqué un tel émoi.
    
    Ma timidité naturelle m’empêche de faire un geste, mais une envie folle de la toucher me fait trembler. Je n’ose plus la regarder, mais les mouvements près de moi me font tourner la tête : Lydie est assise, le buste bien droit, et finit de retirer son chemisier. Nos yeux se croisent et elle me dit :
    
    — Ça ne te dérange pas que je me mette à l’aise ? J’adore la caresse du soleil sur ma peau…
    
    Bien sûr que non, ça ne me dérange pas : sa poitrine est somptueuse, ronde, ferme, les tétons foncés se dressent, impertinents.
    
    Elle s’allonge, les jambes pliées, les bras derrière la tête. Ses seins ne se sont pas affaissés sur les ...
    ... côtés mais restent ronds et tendus, méprisant l’apesanteur. Sa jupe est largement remontée sur ses cuisses. Je crois discerner le bord de son sexe, ce qui se confirme dans la minute, puisqu’elle allonge la jambe qui est de mon côté, dévoilant complètement son bas-ventre. Je suis écarlate et ce n’est pas dû au soleil. Mon érection ne faiblit pas, je suis comme atteint de priapisme. Discrètement, je tire sur l’élastique de mon slip à travers le pantalon car mon sexe est douloureux à force d’être serré. Mon geste ne passe pas inaperçu et elle sourit me disant :
    
    — Mets-toi à l’aise, il fait si bon.
    
    Je remarque seulement à ce moment le tutoiement. J’acquiesce mollement à sa question et cela suffit pour qu’elle se redresse vers moi, saisisse ma ceinture, l’ouvre et déboutonne mon pantalon alors que je regarde, désespéré, son compagnon qui nous fixe en souriant et hochant la tête. J’ai la tête vide ; le mélange de désir et de trouble que cette situation me procure se mêle à une crainte d’un piège ou d’une mauvaise farce ! Elle continue de me déshabiller, mon pantalon est ouvert et je sens l’air sur mon sexe, elle baisse mon slip, libérant complètement mon sexe qu’elle prend dans sa main, le masturbant doucement. L’effet est saisissant, sentir cette main sur mon sexe me fait vibrer au plus profond de moi. Mes mains sont tentées d’empaumer ses seins mais bêtement je n’ose pas… Ils sont là, sous mes yeux bougeant légèrement, spectacle divin.
    
    Je regarde vers son compagnon, il ...