Ecce homo - Histoires de Sexe

Ecce homo

... C’était presque douloureux.

Mon corps s’arqua malgré moi, décollant mes fesses du tapis.

Il se pencha et ses lèvres se posèrent à nouveau sur les miennes. J’accueillis sa langue avec frénésie car en même temps, son doigt poursuivait sa visite. Quel baiser fougueux ! Quelle passion !

— J’ai envie de toi ! Maintenant ! Tu veux ?
— Oui, j’ai envie aussi.

Avec souplesse, il se retrouva à genoux entre mes cuisses.

Il se saisit de mes pieds et me plia en deux. Je me laissai faire car j’aimais ce qu’il était en train de me faire.

Il fouilla dans le tiroir de la table de salon et en sortit une fiole.

— Important, dit-il en me la montrant. Sinon tu ne vas pas aimer, et j’ai envie que tu aimes !

Il ouvrit la fiole et fit couler de l’huile épaisse entre mes fesses.

Rien que ce contact m’affola, car il annonçait ce que j’avais toujours secrètement rêvé.

Ensuite, il me reprit avec son doigt.

— Je vais bien te préparer et tu vas prendre ton pied ensuite.

Effectivement, son doigt élargissait mon œillet. Délicatement, mais avec succès, car je m’abandonnais totalement à ses bons soins.

Deux doigts ! Indolore.

Ses yeux rivés dans les miens, il posa son gland entre mes fesses, sur ma pastille brune. Il poussa un peu et sentit mon corps se contracter.

— Laisse-toi aller, ouvre-toi, je vais te prendre et tu vas aimer ça.

Ses doigts s’enroulèrent autour de mon sexe qu’il caressa doucement. Ses doigts tournaient sur mon gland luisant ...

... d’excitation. Il poussa encore un peu. Je m’abandonnai et laissai mon corps parler pour moi.

Il n’exprimait que désir et envie.

Il poussa encore, et après une courte douleur, je le sentis m’envahir.

Il était gros et mes reins s’ouvraient pour laisser passer cette colonne de chair.

— Tu aimes ça ?
— Oui, vas-y, vas-y au fond.

Il posa ses mains à côté de moi et, prenant appui sur ses bras musclés, avança encore en moi.

Il donna quelques coups, quelques courts aller-retour.

Puis d’un coup, il plongea tout au fond, m’arrachant un cri quand son gland perfora mes entrailles.

Il resta planté en moi, sans bouger.

— Ça va ?
— Oui.

Alors il commença une lente reptation. Chaque ondulation m’ouvrait et me faisait gémir.

Parfois, il accélérait un peu puis reprenait la même tranquillité.

— Huuuum, dit-il, à mon oreille, j’aime déflorer un homme, surtout un viril comme toi.

Je prenais un plaisir indicible à le sentir me perforer. Je bandais, ma queue coulait sur mon ventre.

— Attends, dis-je, haletant, je veux que tu me prennes à quatre pattes.
— Oui, je le sentais que tu aimerais ça, dit-il en se retirant.

Je me tournai aussitôt et me mis dans cette position que j’avais connu sous l’autre angle en baisant mes partenaires.

Féminines.

Je levai donc ma croupe, plaquant mon torse au sol. Me placer ainsi suffit à me rendre fou.

— Vas-y, soufflai-je, vas-y fort.

J’écartai ma fesse d’une main et je le sentis se placer. J’avais perdu ma dignité de ...