1. L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (2)


    Datte: 11/01/2018, Catégories: Hétéro Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... Moi je ne vis que la chemise de nuit qui se tendit lorsqu’elle se baissa, dénudant la moitié des fesses que j’apercevais de côté.
    
    Ayant donné le verre à mon père, elle s’assit très près de lui et il trinquèrent.Elle avait nonchalamment relevé sa chemise de nuit presque jusqu’au pli de la cuisse. Mon père ne voyait pas son pubis mais il n’en était pas loin. Après quelques minutes à bavarder et rire tous les deux, mon père lui posa la main sur la cuisse droite, et la fixant les yeux dans les yeux remonta jusqu’au pubis, passant sous le tissu. Cette fois le doute n’était pas permis , il lui caressait le sexe, et ma femme, fermant les yeux se laissait faire.
    
    Après quelques minutes de caresses dissimulées sous la chemise de nuit, Cécile retroussa cette dernière et la retirant, s’offrit nue au regard de mon paternel. Ce dernier caressa avidement ventre, seins et sexe de mon épouse, ainsi offerte. Elle gémissait et se mordait les lèvres. Puis elle se leva et chauffa mon père par un petit numéro érotique, dont je ne l’aurais pas cru capable.Elle se plaça les mains sur la table basse, tournant le dos à mon père et écarta les jambes. Puis se plaçant devant lui, elle se caressa les seins tout en s’accroupissant, ouvrant largement les cuisses, et présentant sa fente béante à son regard éberlué. Toujours une main sur ses seins, elle se caressa la chatte et se doigta de son autre main. Alors, saisissant la bouteille de porto elle s’en renversa sur la poitrine, les filets du liquide ...
    ... alcoolisé descendaient le long de son ventre pour aller atterrir dans sa toison pubienne.
    
    Elle s’assit sur la table basse, cuisses largement écartées, présentant sa fente ouverte devant mon père, et sa toison pubienne imbibée du liquide. Cédant à l’envie , mon père s’agenouilla devant elle, et lui prenant les cuisses, il plongea son visage vers son pubis et lapa avidement le porto. Ma femme , la tête en arrière, gémissait sous la langue inquisitrice qui plongeait jusque dans sa chatte inondée.
    
    L’ayant gamahuchée pendant de longues minutes, il se redressa, baissa pantalon et slip et sortant une hampe de belle dimension, pénétra ma femme à “la hussarde”. Celle-ci , sous le coup de la surprise poussa un petit cri , mais commença très vite à gémir et ahaner, tant et si bien que mon père, tout en la besognant, lui mit la main sur la bouche, pour éviter des manifestations d’extase trop bruyantes.
    
    Je vis, après un moment, au comportement des corps que les deux jouirent presque simultanément. Ils s’échangèrent alors un baiser fougueux, puis sans un mot mon père se rhabilla.
    
    Ma femme avait conservé sa chemise de nuit à la main, et c’est donc nue qu’elle remonta l’escalier, prenant bien soin de se frotter le pubis contre le pilier du haut pour encore exciter mon père, puis disparut à l’étage.
    
    Mon père qui s’était assis quelques minutes, éteignit le poste de télévision et, poussant la porte du salon entrouverte, eut la désagréable surprise d’y tomber sur ma mère qui le ...