Une Oreille Attentive
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byperevert, Source: Literotica
... barreaux d'escalier. Il la sûrement ficelé debout, je ne l'est pas entendu s'asseoir. Je l'entend tirer sur la chaîne. Il lui dit; « ...maintenant, tu m'obéit. Tu est devenu ma propriété, et je fait ce que je veux de toi . Maintenant, lève tes bras au-dessus de ta tête que je te fixe les mains a ce crochet». Mais que va t-il lui faire? Je l'entend sortir les instruments du sac. Comme moi, elle ne les voit pas,a cause du bandage sur ses yeux. Elle marmonne quelque chose. Il lui a mit quelque chose dans la bouche. Sûrement pour étouffer le son. Je discerne des objets métallique, dont certain qui semble lourd, d'autre très léger. Un claquement se fait entendre, puis un petit cri de douleur sec et surpris. Une petite palette de bois sûrement. Ou même sa main. Il lui afflige des claques a répétition sur plusieurs endroit. Des petits coups rapides. Elle échappe un léger cri chaque fois. « C'est pour te préparer a ce qui s'en vient » lui dit-il. J'entend un briquet qu'on allume. Les claques continu. Des chandelles sûrement. Elle crie différemment maintenant. Elle se plain que sa brûle ses seins. Il lui coule de la cire sur sa poitrine. Il y a une pause. Lui ricane, et elle reprend son souffle. « Tu est une vrai cochonne d'être aussi facile. Tu mérite une sévère correction » lui lance-t-il.
C'est fois-ci ces un claquement vif comme l'éclaire. Un hurlement s'échappe de sa bouche. Il rit. Elle pleure. C'était un fouet. Il déchire l'air d'un autre coup, puis d'un autre et d'un ...
... autre. Elle répond d'un cri chaque fois. Ses coups claque avec assurance sur sa peau. Il ne rate jamais son coup. J'entend qu'il se déplace autour. Il la couvre de coup. Les seins, les fesses, les cuisse, le dos, rien ne doit échapper a ses coups tellement il y en a. Et ça continue. Ses cries se sont transformé en une longue plainte gémissante qui tressaute a chaque coup. Ses cris sont bien audible malgré son bâillon. Elle pleure. Elle ne peut dire un mot. Lui continue son massacre. Il la fouette d'un coup précis et régulier, malgré quelques saccades. Il prend manifestement plaisir a la faire gémire. C'est un sadique, et je la laisse entre ses mains. C'est une sorte de vengeance. J'espère qu'il ne fait que commencer.
Effectivement, les coups continu a pleuvoir de façon brutal. Le fouet claque contre sa peau. Elle doit être rouge. Il y a sûrement des plaie a certain endroit. Rien ne l'arrête. Il est constant dans ses coups. Soudain, il halète d'essoufflement. Il doit y aller fort. Il commence a se fatiguer. Le bruit du fouet cesse, ne laissant que les lamentations sourdes après un brutal assaut. Il a enlevé son bâillon puisqu'elle répond a ses questions qu'ils lui chuchote dans l'oreille. J'entend ses pleures. J'entend aussi qu'il la couche sur le fauteuil. « Ouvre ta bouche saloppe, que je la défonce comme une sale plotte » . J'entend sa gorge profonde qui s'ouvre, et les ressorts du fauteuil qui grince. Il lui pénètre la bouche et fait de grand va et viens. Parfois une claque ...