1. Mûres26/je baise mon ex sur le tapis du salon


    Datte: 20/01/2019, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Hardcore, Auteur: langauchat, Source: xHamster

    Nathalie a dix-neuf ans de plus que moi. C'est ma compagne depuis 25 ans, mais il n'y a plus de sexe entre nous depuis longtemps. Elle est devenue comme une amie, un ancrage familial, bien que nous ne vivions pas dans le même appartement. Elle a vu défiler Solange, Brigitte, elle sait que je n'enfile pas des perles avec Marlène. Elle sait qu'à chaque visite de la jolie dame rousse, je déverse mon sperme dans tous les orifices de la visiteuse .
    
    Nathalie, grande dame brune atypique, s'était bien dégourdie lorsque nous nous étions connus. Je lui avais appris à me lécher avec de grands coups de langue, comme une glace, de bas en haut, sans prendre le gland dans la bouche.
    
    Elle trouvait excitant de me regarder, sans baisser les yeux, dans une expression obscène et joueuse. Je ne savais pas jusqu'à quel point ses lèvres s'ouvraient pour laisser travailler sa langue bien souplement, ou si un sourire s'ajoutait à sa fellation.
    
    D'instinct, elle avait compris que son regard fixé sur le mien augmentait la réceptivité de mon gland.
    
    -Tu vois, je suis enfin une vraie salope, je te lèche avec une grande langue offerte pour toi, j'assume chaque balayage baveux de ma langue, je te regarde, semblait-elle dire.
    
    Quelque chose d'encore plus rieur passait dans ses prunelles lorsque le sperme s'abattait en lourdes perles sur mon ventre.
    
    Son mari n'avait jamais pu la convaincre de se laisser sodomiser. Avec moi, elle s'était laissée pommader la rondelle, et prudemment ...
    ... embrocher.
    
    Sans en raffoler comme plus tard Brigitte, elle se laissait enculer de temps en temps, pendant la journée, lorsque nous avions le temps.
    
    C'était la première femme que j'enculais. Je me touchais un peu la bite en la pénétrant. J'étais fasciné, en palpant mon outil, de sentir le canal spermatique se gonfler, et dégorger son liquide gluant, tandis que le gland tout entier restait bien entouré dans le cul de mon amie. Cette sensation s'était accompagnée d'une pensée vague, du genre: ça y est, j'ai sodomisé une femme.
    
    Mis à pars quelques scènes flamboyantes, nos rapports n'étaient pas épicés de propos obscènes, de positions excentriques. Ils n'en avaient pas besoin. A peine j'avais enfoncé ma queue dans le vagin de Nathalie que celui-ci me serrait, se contractait, me suçait, me trayait le foutre très rapidement, dans une jouissance simple, franche, partagée.
    
    Assez souvent, Nathalie passait ses mains sous ses mollets pour bien s'ouvrir.
    
    Les jambes ainsi ramenées contre elle, le vagin de Nathalie se serrait plus étroitement sur ma bite, quoique de manière moins souple.
    
    Elle accentuait encore sa posture de dame affamée de bite, désireuse de se faire pilonner sans ménagement, lorsqu'elle raidissait les jambes comme pour une posture de gym ou de yoga, et les ouvrait très haut, parfois les mains sur les chevilles. Ses fesses était pratiquement remontées dans cette position, elle n'était plus qu'un cul, qu'une paire de fesses à la fente qui baille, avec une tête, une ...
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