1. Je ne voulais pas y aller


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, jeunes, Oral fdanus, Auteur: Pacoro63, Source: Revebebe

    ... porte passée, il me prend dans ses bras et m’embrasse comme jamais je ne l’ai été par Lucas. Qu’est-ce qu’il m’avait fait de bien, celui-là, d’ailleurs ?
    
    Ses mains font descendre les bretelles de ma robe ; je me retrouve presque nue. Non, nue, sauf le string. Il embrasse mes seins, fait rouler leur pointe sous sa langue tandis que ses mains me caressent le dos, les fesses, le ventre, les épaules. Elles me semblent partout à la fois, mais pas là où je les voudrais. Soudain, je jouis. C’est intense, fulgurant ; bruyant, aussi. Comment a-t-il fait ça ?
    
    — Viens.
    
    Il me porte dans sa chambre.
    
    — Déshabille-moi.
    
    Bouton après bouton, je lui ouvre sa chemise. Je l’embrasse en même temps. Sa peau est douce ; j’aime son odeur, sa transpiration. Je passe derrière lui pour la lui retirer, et son dos subi les mêmes assauts. Sa ceinture, ses chaussures et chaussettes, son pantalon. Toujours autant de baisers partout où sa peau se dévoile. Je repasse derrière lui et descends doucement son boxer. Il a de belles fesses. Je lui caresse le ventre et descends mes mains. Je sens enfin son sexe, le prends en main et commence une lente masturbation. Puis je repasse devant, le regarde. J’ai envie, envie… Oui, je l’embrasse, le goûte, le lèche, le suce ; je caresse ses bourses, je fais tout ce que je n’aimais pas avec Lucas et que, là, j’adore. Je vais plus vite, de la bouche et des mains ; je ...
    ... le sens qui se crispe.
    
    — Arrête, je vais jouir !
    
    Je sais bien : c’est pour ça que je suis là. Et je prends pour la première fois dans ma bouche une énorme giclée de sperme. J’aime ça avec lui. J’avale tout, j’aime même son goût. Je le vide, le nettoie, et attends qu’il soit redevenu tout mou pour le laisser. Je lève les yeux et le vois me regarder ; je fonds, je mouille, j’ai envie de lui, qu’il me prenne. Mais pour l’instant, il ne peut plus.
    
    Il me relève, m’embrasse à pleine bouche et me couche sur le lit. À son tour. Ses lèvres descendent vers mon sexe ; il le lèche aussi, puis je sens un doigt me prendre, puis deux, puis trois. Oui ! Ses doigts bougent doucement en moi, sa langue a trouvé mon clitoris et joue avec. Purée, que c’est bon… J’ai le bas du ventre en feu, je hurle mon plaisir. Je lui suis entièrement ouverte, offerte. Sa main s’affole, il met mes jambes sur ses épaules pour aller plus loin. Je sens sa main qui s’enfonce, je suis remplie de lui. Son autre main saisit une des miennes et la place sur mon sein, que je pétris, malaxe. Puis je sens un doigt entre mes fesses.
    
    — Non, je ne veux pas. Je ne… Oui, c’est bon, vas-y, encule-moi, suce-moi, baise-moi ! Oui, oui, ouiiii…
    
    Je ne jouis pas ; je hurle. Je hurle mon plaisir, mon bonheur, ma jouissance totale. Et dire que je n’ai pas encore senti son sexe dans le mien… et que je ne connais pas son prénom ! 
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