Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3) - Histoires de Sexe

Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3)

... redescendus au rez-de-chaussée où le brouhaha des badauds se faisait bien mieux entendre. Hélène est remontée rapidement à l’étage pour redescendre avec la boîte où se trouvaient les magnifiques stylos rotring.

— Tu les as bien mérités ma chérie.

— Je pense qu’aujourd’hui tu as mangé ton premier minou inconnu et surtout tu as fait ta première turlutte.

— Cela te fera un souvenir pour ta première journée de salope.

— Je te laisse notre carte de visite.

— Il y a nos numéros de portable ainsi que celui de notre domicile.

C’est sur ces mots et après un long baiser gourmand à chacun que je les ai quittés pour repartir me fondre dans la foule. J’avais le goût du sperme de Claude dans la bouche mais je pensais surtout au cadeau que venait de me faire Hélène, car je peux vous garantir qu’il y en avait pour beaucoup d’argent. Maintenant il fallait que je trouve une explication à ma disparition auprès de ma tante et mes cousines, mais aussi comment j’avais pu financer un tel achat. Il m’a fallu quelques minutes pour que mes yeux se fassent à la lumière de l’extérieur car nous avions littéralement fait ça dans la pénombre.

Étant de grande taille, perché sur mes bottes montantes à hauts talons, mes cousines n’ont pas été bien longues à me retrouver. J’ai été bombardé de questions, mais je n’ai donné strictement aucun détail. À l’arrivée de ma tante, j’ai été félicité sur ma super affaire avec les stylos, vu la ...

... quantité que j’avais, je leur ai offert un stylo à chacune. Nous avons continué à errer dans toutes les allées du vide-greniers, mais moi j’avais la tête ailleurs, je subissais le contrecoup de ce que je venais de vivre. Vers cinq heures de l’après-midi, je commençais à avoir un peu mal aux mollets, car je n’avais pas l’habitude de marcher avec des talons. Mes cousines et ma tante n’avaient rien acheté car elles trouvaient qu’en général, il n’y avait que des amasses poussière à la vente. Il avait fait chaud tout l’après-midi et nous étions pressés de rentrer à la maison pour nous rafraîchir.

— Alors ma chérie, comment s’est passée ta première journée de femme.

Je lui ai répondu que c’était vraiment très agréable d’être en jolie fille, car nombre d’hommes se retournent sur toi.

— Tu verras ma chérie, à force de te promener ainsi, des hommes te feront des avances ; libre à toi ensuite de les accepter ou pas.

Nous venions de rentrer à la maison, mes deux cousines sont parties dans leur chambre, pendant ma tante m’emmenait dans la sienne. Tata s’est assise sur le lit, elle a écarté les jambes et m’a invité à venir lui faire sa petite toilette intime. En m’agenouillant devant elle, j’étais en train de me dire que j’en aurais bouffé du minou aujourd’hui.

En espérant ne pas avoir été trop long, je remercie celles et ceux qui m’ont lu jusqu’au bout. La suite au prochain épisode si cela vous a plu.

Bisous à vous