1. Sabine ou sa pine ?


    Datte: 19/01/2019, Catégories: h, hh, jeunes, jalousie, vidéox, Masturbation intermast, Oral Auteur: Clef d'Ut, Source: Revebebe

    — T’as déjà touché la bite d’un mec ?
    
    C’est probablement la phrase à l’origine du fait que je sois, maintenant, assis sur les chiottes, en train de forcer, pour expulser du sperme du fond de mon cul. Mais il va falloir que je vous explique comment il y est arrivé au fond de mon cul, ce sperme. Enfin, tout du moins pourquoi, car pour le comment, j’imagine que vous avez votre petite idée.
    
    Étrangement, c’est à cause d’une fille. J’ai connu Sabine à la fin du lycée, c’était l’une des plus jolies filles du bahut. Le genre de gonzesse que tous les mecs rêvaient de mettre dans leur lit, et dont peu pouvaient se vanter d’y être parvenus.
    
    Moi malheureusement, je suis au milieu. Nous sommes sortis ensemble deux semaines. Deux semaines de bonheur à être proche d’elle, à goûter à ses baisers, deux semaines de fierté de l’avoir à mon bras, sur mon épaule. Mais aussi, deux semaines d’attente de la suite des chastes bisous, deux semaines de frustration après chaque soirée où rien d’autre de plus sérieux ne venait.
    
    Puis j’ai dû déménager, suivre à grands regrets mes parents, mutés à la capitale. Nous avons bien tentés de continuer notre relation, à distance, mais je ne suis pas fort au jeu de la tentation et je succombe très vite… Je le lui ai avoué, elle m’a quitté, CQFD.
    
    Je suis resté le temps de finir mes études et, une fois mon diplôme en poche, j’ai cherché un poste dans ma région natale. J’étais content de quitter Paris, sa météo, sa circulation et son métro. Les seuls ...
    ... bons souvenirs que j’en garderai, c’est, entre autres, la liberté sexuelle que l’on peut y trouver. Des coquines, pour ne pas dire salopes, qui ne vous font pas poireauter 15 jours avant de vous tailler une pipe ou vous offrir leur cul. Une belle gueule, une soirée ambiance, quelques verres, et vous rentrez accompagnés.
    
    Comme cette fois, magique, où, en sortie de boîte, le galant gentilhomme que je suis s’est proposé de ramener deux copines esseulées en vue de tenir compagnie à la plus belle. Eh bien, c’est au milieu des deux que je me suis réveillé, dans une atmosphère où les effluves sexuels trahissaient les heures torrides passées avec elles.
    
    Mais jamais je n’ai pu retrouver une fille aussi jolie, aussi excitante que Sabine. En fait, je ne l’ai jamais vraiment oubliée, jamais je ne m’en suis désintoxiqué. Même si, Dieu sait qu’entre-temps je me suis rattrapé, j’avais comme un goût de trop peu, d’un travail pas fini, d’un fantasme inassouvi. Je croyais tout ça loin derrière moi, quand le spectre de son cul me revint en pleine face d’une bien étrange façon…
    
    Nous sommes un jeudi. Comme chaque semaine, je m’apprête à aller à la salle de sport. C’est une des rares salles encore mixtes sur la côte et qui garde bonne réputation auprès de ces dames. On va pas se mentir, ce n’est pas pour les machines que j’y vais mais pour les p’tits culs qui sont assis dessus.
    
    Je suis faussement en train de faire des étirements quand j’entends derrière moi qu’on me salue :
    
    — Hoho ! ...
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