1. Un certain samedi matin... (1)


    Datte: 19/01/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... voyant la béance anale se présenter à elle, pouffa de rire :
    
    « Hey, viens voir ça, Ali ! On dirait que son trou de cul nous parle !
    
    — T’as raison, il essaie de marmonner quelque chose, on dirait ! En tout cas, si tous les trous de cul se présentaient à nous de la sorte, les vendeurs de spéculum ne feraient pas beaucoup d’argent !»
    
    Alors que Sophie, immobile et haletante, conservait sa position de soumise, Alicia la surprit en apposant ses lèvres autour du sphincter encore grand ouvert et en lui insufflant le contenu de ses poumons, provoquant un bruit de gargouillement interne accompagné de la vive réaction de la fille :
    
    « Hey, arrêtez ça, vous êtes en train de toute me ballonner !
    
    — T’as pas fini de péter, ma belle ! fit coquinement la blonde, éclatant de rire devant ce spectacle inusité.
    
    — Si je dois la réanimer, blagua alors Alicia à Catherine, rappelle-moi à quelle extrémité du tube digestif je dois faire mes insufflations ! »
    
    Puis s’approchant du visage de sa bien-aimée :
    
    « As-tu bien joui, ma chérie d’amour ?
    
    — Ben certain que j’ai joui ! J’ai juste été un peu surprise au début, mais j’ai connu des sensations de vraie salope ! Mais je vais quand même me plaindre à l’APTCV ! ajouta-t-elle en émettant une première flatulence sonore.
    
    — L’APTCV ? demanda Catherine.
    
    — Oui : l’Association des propriétaires de trous de cul violentés ! Je vais adresser ma plainte en ligne. Que quelqu’un m’apporte ma tablette sans tarder ! »
    
    Toutes ...
    ... pouffèrent de rire en s’enlaçant tendrement les unes les autres. Ces derniers ébats à trois poussèrent Alicia, qui s’était reculottée, vers la cuisine, accompagnée de Catherine qui, portant toujours son gode à la ceinture, réservait une surprise à sa compagne. Affamée, la doc entreprit de préparer à chacune un café. S’approchant par derrière, sur la pointe des pieds, de celle qui s’affairait sur la Keurig, la blonde déculotta rapidement la fille qui poussa un cri de surprise et lui fit sentir, entre les fesses, son gode glissant prêt à la sodomiser à son tour.
    
    « Cathy ? C’est quoi ça ? Tu veux me prendre ici, comme ça, sur le comptoir ?
    
    — T’as tout compris, ma chère ! fit l’autre en commençant à forcer la rondelle de celle qui avait couché sa poitrine nue sur le comptoir, les deux bras repliés, appuyant la tête sur ses mains. Avoue que tu aimes ça, toi aussi, te faire cochonner. Allez, avoue !
    
    — Ou... oui, j’avoue ! J’avoue, maîtresse ! Enculez-moi à fond, mon cul vous appartient ! Oui, poussez, poussez à fond que je le sente bien me défoncer ! »
    
    Les coups de butoir se faisaient entendre de l’autre pièce. Flic-flac, flic-flac, le bruit des chairs se frappant attirèrent une nouvelle participante dans cette orgie de plaisirs débridés et interdits. Par derrière, Sophie s’approcha doucement du couple en plein coït anal, perdu dans sa bulle de plaisir, lubrifia abondamment le pénis qu’elle venait d’accrocher à sa ceinture, et présenta son arme rigide entre les cuisses de ...
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