Un certain samedi matin... (1)
Datte: 19/01/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: simson3, Source: Xstory
... se relevant. OK, d’abord, on va y aller, mais gardez ma place, je vous surveille de loin ! »
Alors que Sophie s’éloignait de ses compagnes de jeux sexuels en continuant de pétarader discrètement, Catherine s’approcha d’Alicia pour lui fourrer, à son tour, sa langue dans la bouche humide et chaude. Les deux filles s’enlacèrent. Les mains de Catherine quittèrent le cou de l’autre pour aller caresser des seins tièdes dont les mamelons érigés étaient enduits de salive séchée des ébats passés. S’étant défaite de son gode-ceinture, Alicia écarta ses jambes, replia les genoux et invita la blonde à reprendre possession de sa chatte aux poils noirs et drus.
« Allez, garde Blondin, simulant le contexte du milieu du travail, veuillez répondre promptement à la libido de votre patiente par des stimulations bien ciblées et adéquates !
— Vous voulez dire, docteur, que vous voulez que je vous fasse jouir comme une cochonne ?
— C’est ça, garde Blondin. Prescription ouverte. Et stat, ma garde ! »
Ayant pouffé de rire, l’infirmière s’attarda à peine sur les nichons de sa patronne et concentra son activité dans l’introduction de son gode luisant dans le vagin bouillant et glissant qui réclamait son ‘traitement’. De doux va-et-vient profondément dirigés dans la grotte d’amour de la grande noire eurent tôt fait de tirer d’elle ses premiers gémissements de plaisir :
« Oui, vas-y Cathy. Encore, plus fort ! Pousse à fond sur le col, ça résonne partout dans le ventre. OUI, OUI, ...
... OUI, OUI ! Ah, salope ! T’es rien qu’une salope, Catherine Blondin, je t’adore ! »
Tout en se mettant à couiner de plaisir, la doc connut une transe de jouissance pendant laquelle Catherine sentit le serrement opéré sur l’instrument qui glissait plus difficilement dans le vagin de sa compagne. Adoptant une cadence plus lente, la blonde se rapprocha de celle qui était maintenant dans les vap’ et l’embrassa sauvagement de nouveau, les deux filles bavant l’une sur les joues de l’autre dans une étreinte qui ne fit qu’un de leurs deux corps.
Sophie revint au lit sur l’entrefaite, complètement propre et les intestins vidés.
« Vous avez gardé ma place, comme j’avais demandé ?
— Euh, on a rien fait ! affirma Alicia, sourire en coin.
— Ouais, ouais, j’suis pas sourde, imaginez-vous donc ! Laissez-moi voir ça ! »
Sophie écarta les jambes de sa conjointe qui était demeurée sur le dos et vint fourrer sa langue dans sa grotte dégoulinante de mouille et de lubrifiant :
« Ouais, fit-elle avec une moue. C’est tout chaud encore ce trou-là. C’est tout juste si ça ne fume pas tellement ça a chauffé ! Approche ton gode, Cathy ! »
Enveloppant l’instrument de ses lèvres et se mettant à le sucer profondément, Sophie en vérifia la saveur et la température :
« Pis vous me dites qu’il s’est rien passé ! »
Sophie s’agenouilla, entourant Alicia de ses genoux, et lui présenta l’anus au visage tout en faisant face à Catherine qui trônait au pied du lit.
« Pour ta pénitence, ...