Éveil à l'autre masculin
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
h,
hh,
jeunes,
école,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
intermast,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... se laissa aller lentement en arrière jusqu’à s’allonger. Il dirigea ma main vers son sexe et releva les jambes jusqu’à ce que ses genoux viennent toucher sa poitrine. Les yeux écarquillés je restai interdit devant la scène. Son jeune corps, fin, musclé et soyeux était offert à ma convoitise. Dans mes rêves les plus débridés, je n’avais jamais imaginé une telle offrande. Entre ses cuisses blanches ouvertes pendaient ses lourdes bourses comme un fruit impur que surmontait son incroyable « bite » à laquelle, à bout de souffle, je m’agrippai, comme un noyé à sa bouée. Il avait fermé les paupières et se laissait aller tout à son plaisir semblant jouir de chaque seconde, de chaque effleurement. Je sentis son sexe au bord de l’explosion palpiter dans ma paume.
— Le cul, lèche-moi, toi aussi !
Dans son délire délicieusement dégoûtant, que je partageai sans limites, les mots « cul », « bite » si rares dans mon vocabulaire de pensionnaire bien élevé me faisaient l’effet d’un coup de fouet. Sous le mordant de la discipline, je me sentis capable de toutes les hardiesses. Son invitation résonnait dans ma tête : « le cul, lèche-moi le cul », tournait en écho comme une incantation adorablement maléfique. Je m’agenouillai entre ses cuisses et approchai mon visage. Incapable de résister au désir sulfureux qui me tenaillait les reins j’osais pour la première fois une caresse inconcevable, invraisemblable pour l’adolescent réservé et pudique que j’incarnais auprès de mes professeurs et de ...
... mes parents.
Enivré par l’odeur suave où se mêlaient des fragrances douceâtres de savon et sueur fraîche, j’approchai lentement la bouche. J’avais fermé les yeux par un ultime réflexe de pudeur. Mon front vint s’appuyer sur le coussinet tiède et élastique de ses bourses. Je posai malhabile et tremblant mes lèvres sur l’œillet secret. François, parcouru par un tressaillement tétanique, enserra mon cou dans l’étau de ses cuisses et posa ses mains dans mes cheveux écrasant mon visage dans la moiteur de ses chairs.
— Lèche ! Vas-y, fais-le ! Lèche ! Lèche !
Sa voix, ses mots, redoublèrent l’embrasement qui me brûlait les reins. Comme un jeune chiot cherchant la mamelle de sa mère je fouillais les plis de son corps, j’embrassais, je léchais, j’aspirais. Ma langue se posa contre l’anus palpitant que je forçai de la pointe. Lorsque le muscle vaincu ou avide céda, je fus pris d’une ivresse licencieuse.
François poussait son bassin vers l’avant pour forcer l’enfouissement de ma langue. Ses doigts fouillaient mes cheveux et se fermèrent comme un étau, me forçant à me relever. Étourdi, je lâchai à regret ma proie. Il guida ma remontée comme un sauveteur accompagne le noyé suffocant. Flageolant sur mes jambes tremblantes, j’ouvris les yeux. François était d’une beauté diabolique. Son long corps pâle, marmoréen, luisait dans la pénombre, parcouru d’un frisson spasmodique. Les paupières fermées, la bouche entrouverte exhalait le faible souffle d’une petite mort me rappelant le ...