1. Le chalet des écueils


    Datte: 18/01/2019, Catégories: f, fh, fhh, hplusag, fplusag, fagée, couple, couplus, nympho, caférestau, amour, hdomine, humilié(e), ffontaine, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... sommes mariés !
    — Et cela fait longtemps que tu as oublié le sens du devoir conjugal !
    
    La tension rebondissait sur les murs du salon. Le mari se colla dans son dos et il posa une main sur son ventre. Ses doigts prirent la direction de l’entrecuisse.
    
    Patrick sursauta et se leva…
    
    — Monsieur, vous ne devriez pas…
    — … Je ne devrais pas quoi, jeune homme ?
    
    Finalement, Raymond releva sa main gauche sur la poitrine, pendant que la droite relevait la jupe pour faire apparaître la lisière d’un bas.
    
    — Raymond ! Ne fais pas cela.
    
    Anne ne levait plus les yeux, la honte lui imposait l’introspection. Sa respiration se précipita, elle ferma les yeux en sentant les doigts l’estimer comme une marchandise.
    
    Elle renversa la tête vers l’épaule de son mari. Raymond glissa une main ferme vers un sein et il releva les yeux vers Patrick.
    
    — Ses tétons sont tous durs ! Voyez comme elle est mienne !
    
    Ses gros doigts remontèrent le pull pour dévoiler le soutien-gorge aux bonnets transparents : le mari ne mentait pas.
    
    — N’est-elle pas appétissante ?
    
    Il tira sur le bonnet et révéla l’intégralité du sein, l’aréole ratatinée par un gros téton.
    
    — Ne me dites pas que vous n’avez jamais eu envie d’y goûter ?
    
    Il glissa une main sur le ventre, contourna la jupe remontée, puis il fit disparaître ses doigts dans le string. Anne grogna et Raymond la poussa contre la table. Débauchée, elle posa ses mains sur le rebord et resta droite en serrant les dents.
    
    — Quittez ma ...
    ... demeure, Monsieur l’écrivain. Je dois baiser ma femme !
    
    Patrick resta immobile, il défia Raymond quelques secondes. Le gros homme contraint sa proie.
    
    — L’eau de rose ne suffit pas pour la conquérir.
    
    Raymond leva les yeux sur Patrick.
    
    — Après mes honneurs, vous la verrez différemment. En fin de compte, elle n’aura d’yeux que pour moi.
    
    Raymond remonta fermement la jupe jusque sur les hanches et ses doigts effleurèrent le string qui se perdait entre ces deux fesses. Il descendit sa braguette et sortit son sexe de taille standard. Épuisée par la contrainte, Anne s’effondra sur la table. Ses pieds chancelèrent sur ses talons. Raymond s’excita en déchirant le fragile tissu de dentelles noires qu’elle avait entre les fesses.
    
    Il détailla le string, le sentit et esquissa un sourire.
    
    — Pas de doute : ma femme est une chaude !
    
    Il cala son sexe sur la fente et la pénétra mollement. Raymond apprécia le doux foyer si longtemps abandonné. Il en oublia le spectacle et s’enivra. Il glissa une nouvelle main sous le pull. Ses vulgaires gémissements de porc devinrent des râles, plus en plus fréquents. Il planta ses doigts dans les hanches et après un sprint, il poussa un grognement, immobile au fond de la matrice. Le regard de Patrick décupla son plaisir, mais pas la quantité. Au troisième grognement, il donna deux coups de reins vengeurs et expira.
    
    Raymond se renfroqua. Patrick eut envie de porter secours, mais il se ravisa. Anne se redressa et baissa fermement sa jupe sur ...