1. Le chalet des écueils


    Datte: 18/01/2019, Catégories: f, fh, fhh, hplusag, fplusag, fagée, couple, couplus, nympho, caférestau, amour, hdomine, humilié(e), ffontaine, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... ignorait cette autre personne sur le siège passager. Anne se tenait les bras et regardait les batailles de phares sur la route.
    
    — Tu me déposes à l’entrée du village et ensuite tu rentres chez toi.
    — J’ai mieux. Je te dépose au prochain rond-point et tu rentres en stop ?
    — Fais comme tu veux.
    
    Ils restèrent silencieux jusqu’à l’arrivée devant le portail électrique du chalet.
    
    Anne sortit déverrouiller les grilles. La voiture avança jusqu’aux marches. Le moteur s’arrêta et Patrick sortit de sa voiture. Anne s’immobilisa devant lui.
    
    — Puis-je te proposer une boisson chaude ?
    — Je n’en veux pas. Je ne suis pas venu pour un chocolat chaud.
    — Pourtant, moi, j’en suis accro !
    
    Il esquissa un sourire pendant qu’elle se dirigeait vers sa porte d’entrée. La chaleur du chalet l’acclamait pour rester. Anne s’en alla pendre son manteau, pendant que Patrick satisfaisait sa curiosité pour le lieu.
    
    — C’est superbe chez toi. On est bien.
    — Merci. J’ai passé beaucoup de temps sur la déco. Il y a même des choses que j’ai faites moi-même !
    
    Il se retourna vers elle, leurs regards s’estimèrent :
    
    — C’est juste pour te faire comprendre que je ne suis pas qu’une bourgeoise entretenue par son mari.
    — En fait, tu ne veux pas faire de gîte ici ?
    — Cela ne te regarde pas.
    
    Il déroula son écharpe et à son tour, il ôta son manteau pendant qu’Anne allait chauffer du lait d’amande. Elle l’invita à visiter son chalet. Au premier, Anne se félicita d’avoir fait les deux chambres. ...
    ... Dans le couloir, elle saisit la panière à linge vide et s’empressa de la déposer dans sa chambre. Dans l’encadrement de la porte, leurs regards se croisèrent et s’apprécièrent. Il posa une main sur sa hanche et Anne détourna ses lèvres pour changer de sujet.
    
    — Tu n’es plus fâché avec les bourges ?
    — J’ai encore envie de toi !
    
    Patrick tenta de l’embrasser, mais elle se déroba.
    
    — Arrête ! La visite est terminée.
    
    Elle bondit vers la descente d’escalier. En bas, Patrick rencontra Anne sortant de la cuisine avec son mug chaud entre les mains.
    
    — Je vais rentrer chez moi.
    — Tu n’en veux vraiment pas ?
    
    Le visage d’Anne s’empreint de tristesse. Elle posa sa main sur l’épaule.
    
    — J’ai toujours ton numéro de téléphone et si je t’ignore, par maladresse ou par prudence, tu pourras venir ici pour me faire comprendre que je suis odieuse.
    
    Ils esquissèrent un sourire, avant de voir un jeu de phares se refléter dans le salon. Des crissements de gravier parvinrent aux oreilles du couple. Anne sursauta et posa sa tasse sur la table. Tous les deux allèrent vers la fenêtre.
    
    — Mon mari !
    
    Anne et Patrick furent paralysés par la culpabilité.
    
    — Cache-toi ! Dans le garde-manger ou à l’étage…
    — Je te demande pardon ?
    — Oui, monte à l’étage et cache-toi dans une armoire.
    — Soyons sérieux, ma voiture est dehors !
    
    Une portière claqua. Anne retourna près de la table et Patrick se plaça debout de l’autre côté de la table. La porte du chalet s’ouvrit sur un gros homme ...
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