Petit traité d'ethnologie amateur
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nonéro,
portrait,
Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe
... dur se révèle. Il rechigne. Hésite. Se fait rappeler à l’ordre par sa maman. Consent finalement à défaire sa braguette, mais sans baisser suffisamment ses vêtements. Je le lui fais remarquer, et il montre une tellement mauvaise grâce à s’exécuter, que c’est sa maman qui s’en occupe brusquement, dévoilant plus que nécessaire !
Dany est donc couché sur le divan, les fesses finalement bien à l’air, mais son visage passe au livide. Je le rassure comme je peux, mais quand je pose le coton imbibé d’alcool, il hurle, se retourne, se lève et refuse la piqûre.
Voilà ce grand punk, debout au milieu du salon, les fesses à l’air et la larme à l’œil devant sa maman et l’infirmière. Je tente gentiment de le raisonner, mais comme je ne rencontre pas de succès, sa maman le reprend plus vertement. Elle l’attrape par le bras pour le forcer à se recoucher. Il se débat, le pantalon tombe aux chevilles, le slip laisse largement apparaître une biroute de taille respectable en position debout. Lui s’en fout. Sa maman rougit. Moi, je m’amuse.
Il se recouche, forcé par sa mère sur le divan, mais ses fesses sont tellement contractées, que je vais lui faire vraiment mal quand je vais le piquer. Je la joue calme pour le détendre, mais ça ne marche pas. Sa maman s’énerve, il l’engueule, tente de faire le cador par rapport à sa mère, et se relève à nouveau. Le tableau me fait éclater de rire. Ce grand escogriffe qui veut apparaître comme le plus grand des caïds, se retrouve cul nu et la bite au ...
... garde à vous au milieu d’un salon bourgeoisement meublé.
J’explique la raison de mon hilarité. Ça fait sourire Dany, mais il ne fait pas le moindre effort pour retrouver un peu de dignité et remballer ces affaires. La maman sourit aussi, mais rougit quand je vante le garde-à-vous de l’engin de son couillon de fils. Mais l’atmosphère se détend. J’invite Dany à s’asseoir quelques instants à côté de moi, ce qu’il fait sans remonter quoi que ce soi.
Il faut faire baisser le stress de ce gamin. Il me parle de la passion qu’il a pour la musique, des concerts qu’il a déjà été voir, des enregistrements vidéo de certaines émissions. La tension baisse. C’est encore plus visuellement visible avec un pantalon et un caleçon aux chevilles. Je le lui fais remarquer. Un nouveau sourire. Je l’encourage.
Il se recouche, un peu crispé. Le coton lui caresse la fesse. Il se raidit un peu. Quelques secondes de détente, et il sent à peine quand je le pique. J’ai fini. Je lui dis qu’il peut se rhabiller et boire un coup. Il se relève et les chevilles bien entravées par ses vêtements, se dirige vers sa canette. C’est seulement après l’avoir vidée à longues gorgées qu’il consent à remballer tout son matériel. Je fais de même de mon côté. Je ne m’en vais pas sans lui faire une dernière petite remarque. Il m’a dévoilé son anatomie. Je lui exprime ma déception. Il ne s’est pas fait de crête colorée au pubis… Je trouve pourtant que ça lui irait très bien. J’ai le sentiment que la maman trouve que ...