Petit traité d'ethnologie amateur
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nonéro,
portrait,
Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe
... pour lui parler.
Et le monsieur rouge comme une pivoine de se retourner, la queue en lévitation pour tenter de m’expliquer son travail d’amateur pour se soigner.
— Mais t’as pas honte ? Pourquoi tu bandes ? T’es un gros dégueulasse. Hein madame que c’est un gros dégueulasse ?
Je la rassure et lui explique que c’est des choses qui arrivent (comme si elle ne le savait pas) et que j’en ai déjà vu d’autres. Je prends congé. Je dois dire que j’ai beaucoup ri dans la voiture. Cette mégère qui manifestement appréciait d’exhiber le kiki de son mari et de le ridiculiser devant moi… Pauv’mec !
Mais l’histoire n’est pas finie…
Le monsieur téléphone au service. Justement je suis là. Il m’explique que le médecin a conseillé que la désinfection suite au traitement soit réalisée par un professionnel, qui pourra surveiller l’évolution. Nous prenons donc rendez-vous à une date qu’il me propose et qui me convient. Je me rends donc à son domicile. Il m’ouvre la porte en short et torse nu. Il fait effectivement bien chaud et se mettre à l’aise est une idée tout à fait raisonnable. Je l’accompagne au salon, puis lui lance…
— Et bien, on va voir ça…
Ni une, ni deux, le monsieur ôte son short et l’envoie valdinguer avec son pied dans le fauteuil trois mètres plus loin. Le lecteur a déjà compris qu’il n’avait rien enfilé sous son short. Et voilà mon pudique de la semaine passée, tout nu en face de moi. Je souris. Et puis m’occupe de ma tâche professionnelle.
Le médecin a ...
... bien fait ça, ou ce sont les médicaments qui font déjà leur effet, mais tout me semble aller pour un mieux. Je propose à monsieur de repasser quelques jours plus tard. Il semble contrarié par le rendez-vous que je lui propose, mais je ne peux lui proposer autre chose, j’ai l’agenda bien rempli.
C’est madame qui vient m’ouvrir. Il fait toujours aussi chaud, mais monsieur est aujourd’hui bien habillé. Quand je propose de l’examiner, sous l’œil inquisiteur de sa femme, il dégrafe son pantalon, et le descend juste le nécessaire. Un excès de pudeur semble l’avoir repris. Je devine que ce doit être madame qui en est la cause. Mais je me tais. Un dernier soin est prévu surtout pour être bien rassuré. Et monsieur m’ouvre tout nu !
— Je suppose que madame n’est pas là ? questionnai-je à cette vue.
Et lui, faussement naïf :
— Non, mais comment vous savez ça ?
Je le remballe aussi sec :
— Mais parce que tu te promènes le kiki à l’air !
Il bredouille, tente de m’expliquer qu’il n’a pas pris le temps de s’habiller, et comme pour le soin c’est plus simple comme ça… bref des arguments très convaincants ! Je ne me formalise pas, mais décide de le pousser un peu plus loin…
— C’est parce que votre femme n’est pas là que vous vous promenez à poil… Si elle était là, vous joueriez monsieur la pudeur.
Il proteste. Je porte l’estocade :
— Je reviens encore une fois, et cette fois elle sera là hein ! Et vous venez m’ouvrir à poil ! Chiche ?
— Mais il n’y a pas de problème ...