Changement de cap prévu
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
f,
ff,
intermast,
nonéro,
Collègues / Travail
Auteur: Larges Épaules, Source: Revebebe
... à me caresser le dos.
— Laisse-toi faire ma belle, je veux faire durer tout cela.
Je commence alors à la déshabiller très doucement, en effleurant le bout de ses seins à travers son chemisier. Elle frissonne à chaque fois, ce qui m’excite d’autant plus. Je prends un temps fou à chaque bouton, tout en l’embrassant très doucement sur le visage. Sa bouche cherche la mienne, mais je m’écarte pour la faire languir. Vient ensuite le tour de son pantalon. La voici nue en culotte et je caresse ses petites fesses. Cette fille est très maigre, et c’est sans doute plus dû aux privations qu’aux régimes. Elle a aussi une série de tatouages, sur le ventre, le dos, sur les côtes. Ses piercings des seins ont l’air d’amplifier ses sensations, et je me demande si c’est douloureux.
— Coralie, tu me rends folle, je vais jouir tout de suite si tu continues.
— C’est à toi maintenant, ma chérie.
Capucine m’effeuille doucement, ses mouvements sont très lents mais semblent un peu retenus. Nous sommes maintenant nues, et je découvre que Capucine a aussi d’autres piercings, près du clitoris et dans le nombril. J’ai peur de lui faire mal et elle me guide dans mes caresses. Tout cela est très sensuel, et nous jouissons chacune à notre tour d’abord, ensemble ensuite.
— Coralie, c’était très bon, vraiment, je ne me souviens pas d’avoir joui aussi fort depuis longtemps.
— Pour moi aussi c’était très fort, c’est la première fois que je jouis comme ça avec une fille.
— Tu n’as pas encore ...
... choisi ?
— Non, tu sais faire l’amour avec une fille, c’est assez nouveau pour moi, et pour tout dire, avec les garçons ça n’a pas toujours été glorieux non plus !
— En tout cas, je n’avais pas été habituée à autant de douceur. Les relations avec les lesbiennes sont souvent brusques, et je ne te parle pas de celles avec les gays.
— Tu en as eu beaucoup ?
— J’ai vécu dans ce milieu où on finissait les soirées, tous plus ou moins bourrés et ayant pris de la drogue. Filles et garçons se mélangent, et personne ne sait vraiment ce qui se passe. Les relations sont alors purement sexuelles et parfois violentes.
— Violentes ?
— Deux filles te tiennent avec les jambes écartées, et un gars, que tu n’as même jamais vu, vient s’accoupler, te bourrer sans faire attention à quoi que ce soit.
— Mais c’est du viol !
— Oui si tu veux, mais tout le monde est consentant, ou fait semblant de l’être… Et puis ce n’est pas pire que ce que j’ai vécu plus jeune.
— Tu me racontes ?
— J’ai grandi dans un village assez isolé. L’église, l’école, le bar-tabac, et quelques maisons. Beaucoup de fermes aux alentours. Tout le monde allait dans la même petite école, et puis au collège dans la ville d’à côté. Tout le monde connaît tout le monde. Vers treize ans, il est devenu clair pour moi que je préférais les filles. Une copine de ma classe me plaisait pas mal, et j’ai cherché à l’approcher. Elle ne savait pas trop où elle en était, et elle en a parlé à une autre fille. En un éclair tout le village ...