1. Un effeuillage chaud (1)


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Danslambre, Source: Xstory

    ... m’arrête de la branler, mais je continue de tenir son vit. Mon regard est fixé sur Doris, tout comme lui semble hypnotisé par la scène. Elle s’immobilise, en même temps que la musique marque un arrêt. Coïncidence ou pas, la magie du moment opère. Tout est électrique dans la pièce. Nous regardant alternativement, elle libère délicatement sa poitrine et fait descendre doucement le soutien le long de ses bras. Nous pouvons enfin admirer pleinement ses seins gros, mais fermes et ses tétons bien dessinés et turgescents. Le sous-vêtement tombe sur le sol.
    
    Comme une décharge électrique, j’ai le besoin de l’avoir en moi. Je me repositionne pour être en ses cuisses. Et d’un geste en même temps que la musique reprend un rythme plus soutenu, je le prends complètement en bouche et je commence à remonter et descendre le long de sa queue. Ma langue s’excite sur son gland. Mes doigts parcourent son périnée, viennent caresser son anus, ses fesses, ses couilles. Il sursaute presque de plaisir par cette prise en bouche directe. Sa main agrippe mes cheveux et il m’indique la cadence qu’il désire. Ma tête suit le mouvement de sa main. Je tente de l’observer et je vois qu’il a le regard plongé sur le corps ondulant de Doris. Moi aussi je désire la voir, mais pour le moment, je désire davantage le sucer que de la détailler.
    
    Au moment où Doris s’apprête à enlever le string bordeaux, il relâche mes cheveux et me soulève légèrement le visage, me faisant comprendre que la fellation pouvait ...
    ... attendre. Doris s’est positionnée face au mur. Les jambes écartées, elle s’amuse à tirer sur les ficelles de son string, nous laissant à peine voir la raie nue de son cul. Puis en musique, elle rapproche ses jambes l’une de l’autre. Elle saisit son string de ses deux pouces et doucement entame la descente le long de ses fesses. Elle prend bien son temps, nous profitons du spectacle du tissu qui glisse sur la peau lisse de son cul. Elle continue d’abaisser son dessous et le fait alors glisser le long de ses jambes tendues jusqu’à atteindre ses talons. Une de ses mains remonte le long de sa jambe. Puis elle s’amuse à balader son doigt sur sa fente. Elle passe de sa vulve à son cul, délicatement, subrepticement, longuement. Puis, toujours en musique, elle s’enfonce un doigt, le fait tourner lentement en elle.
    
    Pendant ce temps, sans que je fasse attention, il s’est redressé et est devant moi. Il me fait comprendre que je dois me coucher. Je remarque son impatience aussi. Alors je me couche. Il me replace de telle manière qu’il puisse me lécher mon intimité et en même temps observer Doris sans pour autant que je sois privée du spectacle. Il dépose alors de manière déterminée ses lèvres sur mon clitoris. L’orgasme monte de manière fulgurante. En quelques coups de langue, plusieurs aspirations et mouvements de tête, je décolle si fort que je m’évanouis presque. Mes cris ne sont pas couverts par la musique. Mais Doris reste imperturbable. J’ai chaud, très chaud. Je n’ai jamais connu un ...
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