1. La nouvelle vie de Christine Ch. 18


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... Christine, prestement, glissa ses jambes sous la table à son grand soulagement. Nous mangeâmes notre dîner dans le silence et finîmes nos boissons avant de régler la facture. Je lui dis de me suivre et nous traversâmes le restaurant jusqu'au bar.
    
    Elle repéra tout de suite les deux hommes qu'elle connaissait et je sentis une tension sur mon bras alors qu'elle essayait de m'arrêter. Mais je continuai et m'assis sur un grand tabouret au bar. Christine se tenait à mes côtés. Je la regardai puis le tabouret à côté de moi. Elle comprit ma volonté. Elle s'assit face au bar mais ce n'était pas exactement ce que je voulais.
    
    - Salope? Tourne-toi face à la pièce, et écarte les jambes pour laisser voir ta culotte.
    
    - S'il vous plaît.... Murmura-t-elle.
    
    - Fais ce que je te dis salope.
    
    Le garçon du bar s'approcha et je commandai :
    
    - Une pinte et une vodka limonade.
    
    Puis je regardai ma belle-mère lentement se tourner sur le tabouret, poser ses pieds sur le repose-pied et écarter un peu les genoux. Je pus voir à la réaction de deux hommes assis en face que sa culotte était bien visible. Le bar n'était pas bondé. Il y avait les deux gars assis en face, les deux hommes que Christine connaissait jouaient au billard et trois hommes étaient à côté du flipper.
    
    Les deux hommes connus de Christine prirent deux sièges pas très loin et ne mirent pas longtemps à verrouiller leurs yeux sur la culotte de ma belle-mère. La chemise rouge chuchota à l'autre. Puis ils levèrent les yeux ...
    ... et sourirent à ma compagne qui faisait semblant de ne rien voir.
    
    Nous restâmes assis le temps de boire nos consommations. Alors que la vodka commençait à produire de l'effet sur Christine, elle ouvrit un peu plus les jambes. Les trois gars près du flipper étaient partis. Lorsqu'ils partirent, l'un des deux hommes en face de nous remercia ma belle-mère tout en posant son verre sur le comptoir. Elle sourit et prit une autre gorgée d'alcool. Il ne restait dans le bar que nous deux et les hommes qu'elle connaissait.
    
    J'eus l'impression que ces hommes n'avaient pas l'intention de quitter le bar tant que Christine ne partirait pas. Je supposai qu'ils n'avaient pas l'habitude de voir une parent d'élève s'exposer ainsi en public avec quelqu'un d'autre que son mari à son bras.
    
    Nous terminâmes nos boissons et je dis à Christine d'aller à la voiture et que je la rejoindrais dans un instant. Une fois qu'elle eut passé la porte, un peu instable sur ses talons, je m'approchai de la table des deux hommes.
    
    - Bonjour. J'ai remarqué que vous nous regardiez souvent et je me demandai si vous connaissiez la dame avec qui j'étais.
    
    - Oui nous la connaissons. N'est-ce pas Christine la mère d'Alice? Me répondit le gars en chemise rouge, Paul.
    
    - Eh bien, si vous attendiez pour ce que je pense que vous voulez, rejoignez-moi au parking dans cinq minutes. Ma voiture est une Ford couleur argent.
    
    Je quittai le bar, les laissant finir leurs bières. Quand je rejoins la voiture, Christine ...
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