1. La bourgeoise et le marabout (24)


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    François m’a bien baisée hier soir à la maison mais je sais que cela ne lui suffit pas. L’évolution de mon comportement lui permet de révéler ses vraies pulsions de mâle lubrique et de mari pervers. Je sais qu’il prend un plaisir non dissimulé à m’exhiber devant d’autres hommes et à m’offrir dans des endroits publics. Je ne suis donc pas surprise lorsqu’il me dit en cette fin de samedi après-midi
    
    — Chérie, il fait un superbe temps. J’ai très envie que nous sortions prendre l’air.
    
    Je lui réponds
    
    — Tu souhaites que je m’habille comment ? C’est pour aller se promener où ?
    
    — Mets quelque chose de léger, nous allons allez du côté de Barbès et peut-être nous ferons nous un film au Louxor.
    
    dit-il tranquillement comme si je n’avais pas compris quelle tournure va certainement prendre cette sortie dans un quartier aussi chaud.
    
    Il est environ 19h00 lorsque j’ai fini de me préparer. Compte tenu de la météo, j’ai simplement mis une robe de demie saison avec un petit gilet en laine assorti. Dessous, j’ai choisi de porter un ensemble soutien-gorge et string assorti avec des dim-up. Des chaussures à talons hauts complètent la tenue. J’ai forcé un peu sur le maquillage, au niveau du rouge à lèvres et du mascara sur les yeux. Pour changer, je me suis attaché les cheveux en chignon de matière à mettre ma nuque en valeur. Autour mon cou, j’ai choisi de porter un collier serré en cuir.
    
    François décide que nous y allons en métro pour éviter les problèmes de parking sur ...
    ... place. C’est effectivement une bonne raison mais je sais aussi qu’il a envie de m’exhiber un peu dans les transports en commun. Place de Clichy, nous changeons de ligne pour embarquer dans la 2 qui va nous amener à Barbès-Rochechouart. La voiture est bondée et nous restons debout. Je suis face à François bien collé à lui mais, bien vite, je sens que l’on se colle aussi dans mon dos. Je ne me retourne pas et bien vite la pression se fait un peu plus forte. L’inconnu n’hésite pas à se frotter contre mes fesses et bien vite je devine son sexe en érection. Je pousse un peu le bassin vers l’arrière et une main me caresse les fesses à travers le fin tissu de ma robe. Je me laisse faire car je lis dans les yeux de mon mari que c’est ce qu’il souhaite. La main se glisse discrètement sous ma robe et un doigt vient effleurer la fente de ma chatte. J’écarte un peu les jambes pour favoriser le passage mais nous arrivons déjà à la station où nous devons descendre. Je sors du compartiment au bras de François sans même me retourner. En descendant les escaliers qui permettent de sortir de la station et accéder dans la rue, les vendeurs à la sauvette de cigarettes et autres abonnés du secteur me dévore du regard.
    
    Aussitôt sortis dans la rue, nous voilà devant le Louxor. Pas de chance, les prochaines séances ne débutent que dans plus d’une heure. François me propose alors de nous poser dans un café pour boire quelque chose. A peine sommes nous installés dans un bar que voilà Monsieur Coulibadou ...
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