Clémence Thermet se prostitue pour des contrats
Datte: 14/01/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Auteur: ClemenceThermet2, Source: xHamster
... monde réuni avec beauocup de mal à avoir le silence, ils étaient une vingtaine quand même, mon patron dit "Clémence Thermet a une annonce à vous faire". Je m'avançais sous les sifflets et les paroles salaces et je leur dis comme convenu :
"Bonjour, j'ai le regret de vous annoncer que le chantier doit être fini dans un mois" d'une toute petite voix.
Silence puis certains rirent, d'autre juraient, d'autres m'insultaient, je crus que j'allais mourir sur place.J'avais tant essayé d'avoir leur confiance, ils m'obéissaient au doigt et à l'oeil et voilà qu'à cause d'un connard il avait tout foutu en l'air ! Ils étaient vraiment en colère. Mon patron les calma et leur dit :
"Calmez-vous, calmez-vous mes amis, vous aurez évidemment des compensations!"
et il se tourna vers moi en me disant d'avancer. Je me sentais prise au piège. J'avançais comme pour aller à l'abattoir.
"Clémence Thermet est ici pour négocier avec vous !"
Le regard des ouvriers brillait perversement et certains se léchainet les lèvres dans un geste obsène.
"Clémence, enlève ton manteau !"
Je ne voulais pas. Je ne bougeais pas. J'étais terrorisée. Je n'entendais plus rien.
"Clémence Thermet sale pute tu vas m'obéir sinon je te jette dehors et tu auras tes yeux pour pleurer..." me siffla t'il à l'oreille.
Alors la boule au ventre, la conscience partie très très loin, je commençais à faire descendre mon manteau qui dévoilà mon collier, les bretelles en latex, mes seins nus entre les ...
... lanières, mon ventre... A cette vue les ouvriers oubliaent tout, tout ce que nous avions vécu ensemble de bien et ne devinrent que des bêtes assoiffées de sexe. Leur lubricité me poignarda le coeur.
"Elle est à vous, faites en ce que vous voulez !"
Ils se jetèrent alors sur moi comme des morts de faim, leurs mains rugueuses sur ma peau encore tendre et certains avaient déjà sorti leurs queues. Ces hommes que je croyais connaître devenaient sous mes yeux des prédateurs de la pire espèce. Leurs doigts s'insinuaient partour en moi, me lacérant les chairs intimes sans aucun respect pour la poupée de chair que j'étais devenue à leurs yeux, j'en pleurais de l'humiliation. Puis une queue arriva dans ma bouche celle du contremaitre évidemment vite suivie par celles des ouvriers.
J'étais tétanisée mais leur chaleur me faisait du bien par ce temps froid. Puis le contremaitre s'enhardi et cracha sur sa bite avant de se placer en face de moi entre mes jambes qu'il tenait écartées. "Alors Clémence Thermet, on fait moins la fière maintenant qu'on ne peut plus donner des ordres ? Prends ça sale pute!" Et il rentra sa queue d'un seul coup dans ma chatte sèche. Mes cris étaient étouffés par les queues des ouvriers, j'avais l'impression qu'il me labourait les entrailles. Il fit alors des va et vients d'une horreur absolue comme s'il avait une revanche à prendre sur moi et une frustration a évacuer dans mon ventre. Il me massacrait la chatte en tapant comme un fou au fond de moi, il était en ...