1. Le cadeau de mariage 11


    Datte: 16/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... été une nouvelle sensation pour elle car elle accompagnait celle de son sexe en elle, s’activant juste avant de déverser sa semence.
    
    Maintenant, ce contact lui répugne elle ressent une aversion pour cette caresse. Elle n’en éprouve aucun plaisir. Pourtant elle est surprise par l’apparition d’un frisson quand, entre deux doigts, l’homme lui pince les pointes des seins. Ce frisson annonciateur du plaisir.
    
    C’est le moment que choisit le beau-père pour approcher sa tête de son ventre, les jambes largement écartées. Elle sent sa chevelure glisser le long de ses cuisses. Là où la peau est si sensible. En s’approchant des lèvres de sa chatte, son souffle chaud chargé d’une haleine fétide remonte jusqu’à ses narines lui donne la nausée.
    
    Mais pourquoi les pincements sur son sein lui procurent-ils encore ces frissons au bas du ventre ? Elle tourne la tête vers son tourmenteur. Elle ressent comme une injure les yeux de l’homme rouler sur ses seins et sur ses épaules. Elle en frissonne de dégoût. Elle se souvient qu’il n’avait pas cessé de reluquer ses petits seins, ses fesses déjà rondes au cours de cette journée en famille chez Antoine. Ce vieux vicelard, comme tous ceux rassemblés ici sont des pervers attirés par la jeunesse des filles à peine pubères.
    
    Quand la langue du beau-père lui frôle les lèvres et commence à laper les sécrétions qui sourdent de sa vulve, Agnès est prise de tremblements. Elle ne sait pas exactement si c’est le dégoût ou le plaisir. Elle se refuse, ...
    ... résiste. « Non pas la descente en enfer ». Mais le plaisir s’accroît quand elle sent l’organe franchir la barrière de ses grosses lèvres, lécher les petites puis le petit bouton tout gonflé de plaisir, s’enfoncer pour enfin pénétrer sa vulve qu’elle sent devenir brûlante. Sans réaliser vraiment, elle s’est emparée de la tête entre ses jambes et la presse contre elle comme un étau. Elle ne peut plus résister au plaisir qu’elle sent monter en elle. La conjugaison de ces doigts sur ses tétons et cette langue, en elle maintenant, lui font perdre la tête. Elle serre fortement la main d’Antoine. De sa voix douce, il l’encourage à se laisser aller. Il ne pense qu’à lui et Agnès l’a bien compris. Mais elle l’aime tellement !
    
    Maintenant, tout son corps est parcouru de frissons. Elle connaît bien cette sensation, elle annonce le plaisir. Sa peau est prise d’un frémissement qui n’échappe à personne dans le bar, surtout que sans s’en rendre vraiment compte, sa respiration est devenue plus forte et saccadée.
    
    - Tu vois ma petite salope que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour la baise.
    
    Quand elle sent la bite du beau-père frotter ses cuisses, elle est sur le point de crier. A ses côtés, l’ami a pris sa bouche et lui pétris les seins. Elle sent sa langue la fouiller. Une langue baveuse, mobile, puissante. Petit à petit Agnès se prend à apprécier ce viol buccal.
    
    Elle entrouvre les yeux. Maintenant elle veut voir, elle se sent des envies de participer.
    
    Le beau-père a ...
«1234...»