Relations inavouables (3) - Histoires de Sexe

Relations inavouables (3)

Lise mord à pleines dents l’oreiller pour étouffer sa jouissance, son fils l’encourage :

— Donne-toi à fond maman, ne te retiens pas !

Il retire son doigt de l’antre brûlant et le fait tourner sur l’œillet qui palpite.

Lise se contracte sous ce nouvel attouchement, Marc se dit, il faut qu’il aille plus loin maintenant.

Il caresse les fesses rebondies de sa maman avec délicatesse puis ses mains remontent jusqu’à ses épaules, il prend le temps de les masser puis redescend jusqu’à l’anus qu’il taquine.

Lise tourne sa tête vers lui, et lui dit en baissant les yeux:

— Marc tu es un monstre ! tu avais promis, laisse-moi maintenant stp !

Marc lui fait un grand sourire et l’interroge:

— Maman, réponds-moi honnêtement, cela t’a plu ?

Elle baisse les yeux en rougissant.

— C’est contre nature, je m’attendais pas à ça de ta part ! qu’elle répond en béguant.

— Retourne-toi maman, et dis-moi en me regardant droit dans les yeux que cela ne t’a pas plu ?

Elle se couche sur le dos et lui dit :

— Je ne peux répondre à une telle question, j’ai trop honte de moi !

Marc regarde la toison humide de sa maman et passe doucement la main sur la fente.

Elle pose sa main sur la sienne et tente de l’empêcher d’aller plus loin.

— Non, mon chéri arrête, c’est trop dur pour moi, tu ne te rends pas compte que je suis ta maman !

— Je t’aime maman, tu le comprends ça ?

Des larmes coulent sur ses joues.

— Mon Dieu, qu’est-ce qui nous arrive, je vais ...

... finir par devenir folle avec toutes tes déclarations !

— Sois à moi maman, tu en as envie, cela se sent et je le vois dans tes yeux !

— Tu es un méchant sans cœur !

— Oh oui, maman chérie, j’ai un cœur, il bat uniquement pour toi !

Lise place ses mains sur son visage et pousse un soupir très bruyant.

Marc fait glisser deux doigts sur la fente, et trouve le bouton d’amour, il le caresse très doucement, Lise veut le retenir.

— Non maman, laisse-moi t’aimer !

Honteuse, elle tourne la tête sur le côté pour ne pas croiser le regard de son fils.

Marc triture délicatement la perle d’amour, sa maman résignée, pousse de nombreux soupirs.

Il sait que maintenant sa maman est à lui, il insère deux doigts dans le temple qui mouille de plus en plus, et avec le pouce, il caresse la perle délicate qui prend du volume.

Lise commence à gémir, Marc lui embrasse le ventre, sa langue fouille le nombril.

L’amour de sa vie se cabre :

— Mon Dieu, mon Dieu Marc, tu me rends folle mon chéri !

Ses doigts remuent dans la gaine de chair, pendant que son pouce affole le clito devenu sensible.

Lise se raidit, pousse un grognement de bête, et gicle de jouissance.

Marc accélère, ses doigts qui forment un crochet ont trouvé le point G, ils le titillent férocement, sa maman se cabre encore plus, et gicle davantage.

Enfin, il retire ses doigts trempés de cyprine, les passe sous son nez, les hume longuement avant de les lécher un à un.

Sa maman a les yeux fermés, sa ...