1. Chroniques martiennes


    Datte: 16/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Sexe Interracial Inceste / Tabou Auteur: Svetlana1980, Source: xHamster

    ... ne ferma pas les yeux de la nuit. Plus les heures passaient, et plus sa théorie lui paraissait plausible. A chaque fois, l’histoire d’Anna restait cohérente avec ce qu’elle lui avait raconté auparavant, jamais un détail ne clochait. Ce ne pouvait pas être un simple rêve. Ca allait se produire ! Il fallait qu’il l’empêche. Il refusait de vor son épouse entrainée dans un gang bang intergalactique !
    
    Les nuits s’enchaînèrent ; le rêve revint à chaque fois. Marc en avait noté chaque détail, dans quelle partie exacte du champ ils allaient atterrir, à quelle heure, et où il pourrait se cacher pour ne pas être vu par les créatures. Il avait récupéré la .22 que son père lui avait donnée, et l’avait soigneusement chargée. Son plan était bien arrêté, il ne pourrait pas échouer. Et s’il devait passer quelques heures dans un buisson et que rien n’arrivait, il en serait simplement quitte pour un bon rhume.
    
    Le soir du 16 avril arriva. Marc partit pour sa traque, dans sa tenue de chasseur, son arme à la main. Anna ne dit rien. Il s’attendait à être inondé de quolibets de sa part, voire même à ce qu’elle pique une crise de rage. Mais elle le laissa partir tranquillement, l’embrassant même sur le pas de la porte.
    
    Anna rentra ensuite à l’intérieur, se fit une tisane, puis se prépara à se mettre au lit. Elle revêtit ...
    ... sa nuisette la plus sexy, en dentelle, qui ne cachait pas grand-chose, et attendit. Elle savait qu’il n’y aurait pas de coup de feu. Depuis le début, il y avait un détail qu’elle n’avait jamais révélé à son mari. Oh, un tout petit détail… Les occupants du vaisseau n’étaient pas sept en réalité, mais étaient accompagnés d’un huitième être… une représentante du sexe féminin. Dans ses rêves, elle l’avait vue humant l’air, reniflant l’odeur de son mari, et se précipiter vers le buisson où il était accroupi. Cette créature disposait d’une bouche réduite à une ouverture circulaire de quelques centimètres, et venait la coller sur le sexe de son mari. A en juger par la longueur de son cou, et à l’expression hébétée qu’avait pris Marc dans son rêve, elle lui fournirait une gorge profonde inoubliable…
    
    Anna se mit sous les draps. Quelques instants plus tard, un formidable éclat de lumière passa à travers les épais rideaux de la chambre. Un cri retentit… était-ce son mari ? Aurait-il fait la rencontre dont elle avait rêvé ? Anna entendit la porte d’entrée s’ouvrir en grinçant. Des pas se firent entendre dans les escaliers menant à la chambre. Ce n’étaient pas les pas lourds et reconnaissables de son mari.
    
    Elle distinguait au moins sept pas différents dans les chuintements humides qui provenaient de l’escalier... 
«123»