1. Jeux entre frères (6)


    Datte: 15/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... spasmes et secoué par la traite de ma bite propulsa mon jus au loin. Ma cousine n’en arrêta pas pour autant ses actions et elle y mettait encore plus de vigueur. Ignorant totalement mon vit qui perdait sa rigidité, elle accéléra le mouvement ; j’avais mal et mon sexe me brûlait presque. À un moment l’envie de dire le code afin de mettre fin à ce véritable supplice me frôla l’esprit, mais l’excitation revint et ma queue re-durcit et retrouva sa vigueur. Ma cousine me regarda, le sourire aux lèvres ; visiblement satisfaite du résultat, elle changea de main et continua à me secouer le dard et aussi à triturer mes tétons au bord de l’apoplexie.
    
    Je ne savais pas combien de temps avait duré cette branlette, mais la délivrance arriva par un longue giclée de sperme suivit d’une seconde et enfin d’une toute petite troisième. Mais ma cousine avait décidé de ne pas en rester là et, empoignant mon engin, elle continuait à le secouer fort. Au bout d’un temps terriblement long, je n’avais plus de jus ; je capitulais et dit le code :
    
    — Chien, chien !
    
    Elle stoppa instantanément me laissant avec mes crampes et me dit :
    
    — Pas mal, pas mal ; la prochaine fois il faudra que tu atteignes trois éjaculations ! Regarde maintenant le sol, tu as tout salis ; tu vas me bouffer tout ça !
    
    Elle me détacha alors et m’obligea à me mettre à quatre pattes et à lécher mon sperme. Je ne savais pas si c’était pour m’encourager, mais elle m’enfila dans les fesses un objet gras, gros, très gros et ...
    ... le poussa. Bizarrement je trouvais que mon jus n’était pas si mauvais ; je prenais même un certain plaisir à l’avaler. L’objet entrait doucement en moi, mon trou s’ouvrait doucement sans vraiment de douleur ; c’était même plaisant. Je bouffais mon sperme qui avait atterri sur une pierre plate ; elle m’enculait avec cet objet, un gode ! Car il se mit à vibrer. La réaction de ma bite fut immédiate, je bandais à nouveau ; ma cousine s’en aperçu.
    
    — Ah… mais tu bandes, mon salaud ! Et bien lève-toi, allez debout ; t’inquiète pas je le tiens et il ne va pas sortir.
    
    Debout, adossé à l’arbre, le gode dans mon cul continuait inexorablement à s’enfoncer en moi ; je pris ma queue à pleine main et me branlais. J’y mettais la même énergie qu’Elsa avait déployée peut de temps avant.
    
    — Allez, vas-y mon cochon ; branle-toi, avoue que ça fait du bien ? Et avec ça en plus, tu aimes, dis moi que tu aimes quand je te torture les tétons.
    
    — Oui Elsa, oui, j’aime ça…
    
    — Oui qui !
    
    — Pardon, oui Maîtresse, j’aime ça, continue, s’il te plait.
    
    Évidemment que je voulais qu’elle continue car l’orgasme que s’en suivit fut extraordinaire. Ce fut un véritable feu d’artifice, quelle jouissance ! Le paroxysme de tout ce que j’avais pu connaitre jusqu’à présent ; un orgasme avec une éjaculation à m’en faire tourner la tête. J’avais mal partout, mon ventre, mon sexe et mon trou du cul qui devait ressembler à un trou béant dans lequel le vent s’engouffrait.
    
    Je me retrouvais à genoux, épuisé ...