Malentendu
Datte: 15/01/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
Oral
pénétratio,
init,
mélo,
amourdram,
consoler,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... J’avais de très bons résultats aux cours, et surtout, je jouais au basket. À treize ans, j’étais un véritable piquet de vigne : plate, grande, un mètre soixante-douze, et habile dans ce sport. Je n’étais encore qu’une enfant n’étant pas réglée, contrairement à toutes les copines.
À la fin de la troisième, fin juin, nous étions heureux, je venais de réussir le brevet avec des notes époustouflantes. Pourtant, le plus important pour moi, c’était que l’équipe du collège, dont je faisais partie, était en finale du championnat d’académie. Et le match avait lieu dans deux jours.En famille nous avons fêté le résultat de l’examen, on a ouvert une bouteille de champagne et, pour la première fois de ma vie, j’en ai bu une coupe. J’ai trouvé ça délicieux, j’étais légère, légère, j’en aurais bien pris une deuxième, mais maman a refusé, me raccompagnant dans ma chambre car les murs avaient tendance à bouger.
Le lendemain, j’étais fraîche, tout était merveilleux. Pourtant j’ai trouvé maman avec une mine fermée. Inquiète, je l’ai questionnée.
Maman a accepté, je l’ai embrassée, ainsi que Henri.Le lendemain, il m’a amenée au collège, un car nous prenait pour nous conduire à la ville d’à côté. Henri suivait en voiture pour assister à la finale. Ce fut un match terrible : à trois minutes du coup de sifflet final nous étions menées de trois points. Et, je ne sais comment, un miracle, j’ai pu marquer deux paniers coup sur coup et nous avons gagné.J’ai été portée en triomphe par toute ...
... l’équipe et même quelques garçons qui ont vérifié si mes fesses étaient bien fermes.
Après réception, félicitations, remise de la coupe. Puis apéritif, nous avons eu droit à une mini coupe de champagne. Je connaissais ça depuis deux jours et ça me plaisait. J’ai vidé la mienne puis suis arrivé à en prendre discrètement deux à la table des grands.Au moment du départ, j’étais carrément ivre. Notre entraîneur, en me voyant dans cet état, est entré dans une colère folle. Heureusement, Henri lui a dit qu’il me prenait en charge et me ramenait, ce qui a réglé le problème.
Comment nous sommes revenus, je n’en sais rien. Il a dû me déshabiller et me coucher.Dans mon sommeil, j’ai ressenti soudain une douleur atroce entre les jambes. J’ai crié, Henri a mis sa main sur ma bouche. Il m’a transpercé, me faisant souffrir atrocement. Je me suis débattue, puis j’ai perdu connaissance.
Un tissu humide sur mon front m’a réveillée. J’avais terriblement mal entre les cuisses. J’ai repoussé la main qui me soignait. La voix de maman m’a rassurée, me parlant doucement. J’étais nue. Maman a préparé un bain et m’a déposée dedans. Elle jurait, elle d’ordinaire si polie. Elle parlait de police, de juge, en me nettoyant doucement.La sonnette a retenti à la porte. Maman est allée ouvrir.Elle est revenue quelques minutes après, le visage figé, sans dire un mot. Elle m’a soignée, dorlotée, caressée avec des mots très tendres, m’a recouchée en me donnant un calmant.
Le lendemain, à mon réveil, ...