1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1033)


    Datte: 15/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode N°840) - Les préparatifs du départ de l’esclave Phryné MDE -
    
    Son domaine en plein cœur du Beaujolais allait peut-être lui manquer dans les jours à venir, mais IL savait que d’autres opportunités tout aussi alléchantes s’ouvraient à Lui, qu’Il désirait aussi plus fort que tout de se retrouver rapidement à bord de Son luxueux paquebot L’Odyssée… Dans la Chambre Privée de Monsieur le Marquis d’Evans, le Châtelain profitait de la nuitée pour s’octroyer, avant de dormir, quelques plaisirs charnels en compagnie des 2 chiennes-femelles et des 2 chiens-mâles qu’IL avait entrainés à Sa suite en quittant la Grande Salle de Réception du Château, transformée pour quelques heures en un véritable lupanar où serviteurs et esclaves MDE continuaient de forniquer lubriquement, profitant de chaque instant de cette soirée orgiaque que le Noble avait organisée pour fêter son départ de l’ancestrale Demeure, avant de rejoindre le magnifique paquebot BDSM de luxe « L’Odyssée » qui allait enfin prendre la mer pour une première odyssée sur la Méditerranée, après quelques réceptions inaugurales pour son lancement officiel.
    
    Walter, le Majordome, ayant reçu les consignes qui s’imposaient et sachant que la tâche serait grande le lendemain matin pour ranger tous les effets personnels de voyage de Monsieur le Marquis d’Evans ainsi que pour apprêter les esclaves qui devaient le rejoindre sur L’Odyssée sans tarder, pour préparer et participer aux ...
    ... grandioses soirées festives et mondaines qui avaient été prévues. Le Majordome décida qu’il était temps de mettre un terme à la fornication qui battait son plein dans des râles orgasmiques bruyants. Afin que chacun puisse prendre un minimum de repos avant de se remettre à l’ouvrage, Walter fit donc retenir le gong final demandant poliment aux serviteurs de bien vouloir s’activer de terminer de baiser ou de se faire sucer, et à contrario exigeant fermement des esclaves, en tout cas de tous ceux qui n’étaient pas entre les mains et sous les ordres desdits serviteurs, de bien vouloir interrompre dans l’instant ce qu’ils et elles faisaient, car plus aucune jouissance, ni attouchement et geste sexuel, ne leur été désormais autorisé.
    
    Les esclaves disciplinés s’arrêtèrent aussi sec à l’exception de l’un d’entre eux qui était prêt à décharger dans une « nième » éjaculation de la soirée dans le cul d’une chienne-femelle dont le corps était déjà largement couvert de foutre, plus ou moins séché. L’esclave-femelle avait bien entendu l’ordre impératif donné par le Majordome et elle essayait tant bien que mal de s’extraire de la pénétration sauvage qui lui pourfendait la rondelle afin de pouvoir se prosterner immobile comme tous les autres esclaves. Mais le bestial enculeur, qui sous l’effet de l’excitation et du stupre ambiant en avait presque oublié les règles afférentes à sa condition de chien soumis, en voulait encore et toujours plus, ne désirant pas perdre une occasion ultime de ...
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