1. Il fait lourd


    Datte: 16/02/2018, Catégories: ffh, vacances, init, strip, fsodo, Auteur: Thor, Source: Revebebe

    ... j’arrache ma chemise, je défais les manches, la fais tournoyer dans l’air et la jette au loin en poussant un cri de Rahan.
    
    — Ouah le mâle ! tu dis.
    
    Et je me joins à votre farandole. Nous dansons comme des fous, nous tournons, la tête nous tourne. Et soudain je me précipite vers toi et je danse avec toi, collé-serré. Je t’embrasse à pleine bouche, nous sommes maintenant arrêtés, et je passe mes main sous ton tee-shirt. Je te l’enlève. Je m’écarte de toi pour juger l’effet produit.
    
    — C’est encore meilleur comme ça, tu dis, et tu te mets en position de déesse antique.
    
    Elle te regarde, le temps s’est comme arrêté, elle a un sourire figé aux lèvres. On sent qu’elle hésite, elle est à deux doigts de faire pareil, d’exposer elle aussi son torse à l’orage.
    
    C’est alors que tu marches sur elle et que tu amorces un slow avec elle. Elle rit, elle se tortille tandis que tu te colles à elle.
    
    — De toute façon il a tout vu, c’est carrément transparent avec la pluie, tu lui murmures à l’oreille.
    
    Tu passes derrière elle et tu l’aides à l’enlever, il est tout collant de pluie c’est dur de l’enlever. Quand elle émerge du tissu, elle est toute rouge, elle dit :
    
    — Ça fait tout bizarre, en me regardant, et elle rit.
    
    Et alors, cette image me restera toujours, elle dit :
    
    — Oh et puis merde ! et elle entreprend de défaire son short.
    
    Elle dégrafe le bouton sans nous regarder, elle descend la fermeture Éclair, et elle s’extrait de la masse mouillée.
    
    — Ça vous la ...
    ... coupe !
    
    Et elle se met à courir en riant sous la pluie, en petite culotte, elle part loin très loin puis elle revient en courant et en hurlant. Nous la regardons hilares. Avec ses petites tennis et sa culotte blanche, elle est magnifique.
    
    Je me rapproche de toi et je t’embrasse. Tandis qu’elle repart, toute à la joie de courir quasi nue sous la pluie, je défais le bouton de ton short, il est trempé j’ai du mal. Tu finis par parvenir à l’enlever, et avant que tu aies pu dire quoi que ce soit je passe une main dans ta culotte. Sous la pluie elle est trempée, et je te l’enlève d’un coup. Te voilà nue avec tes chaussures.
    
    — Alors ça t’excite ?
    
    Je réponds :
    
    — Oui que trop.
    — On va voir ça… et tu entreprends de m’enlever mon short.
    
    En dessous j’ai un caleçon, je bande dur ça fait une grosse bosse que tu caresses, et puis tu passes la main à l’intérieur, tu me saisis la bite, tu me caresses les couilles. Rien n’existe plus que cette délicieuse sensation, on se regarde les yeux dans les yeux, et ma main va tout naturellement à ton sexe.
    
    Et tu m’enlèves mon caleçon
    
    C’est alors que nous nous apercevons qu’elle est là, qu’elle nous regarde, hypnotisée. Elle ne dit rien. Elle est tendue comme dans un rêve. Tu te retournes vers elle et du même geste tu lui enlèves sa culotte. Elle ne bouge pas.
    
    Lentement tu te relèves et tu l’embrasses à pleine bouche. Puis ta bouche quitte ses lèvres et s’en va errer dans son cou. Elle me regarde et tandis que tu lui tètes ...