1. Catherine et les sortilèges - 4


    Datte: 15/01/2019, Catégories: Anal Humour Auteur: Axelya, Source: xHamster

    ... que j’ai un gros appétit mais on ne va pas quand même pas manger un rôti à nous deux !
    
    - Tu pourras en emmener si tu veux. Je congèlerai le reste.
    
    - Je te reconnais bien, toujours prévoyante.
    
    Grégoire ne l’avait pas entraînée dans la chambre dès son arrivée et la discussion prenait un tour anodin. Ils burent un verre de vin puis un deuxième.
    
    - Tu as vraiment une belle collection d’objets anciens, lui dit-il.
    
    - Merci.
    
    - Si tu veux, nous pourrions aller à une exposition, un week-end ou pendant les vacances. Je crois même qu’il y a des soirs où on peut visiter les musées.
    
    - Je pensais que tu ne t’intéressais qu’au foot.
    
    - Eh ! J’aime bien le cinéma aussi ! Pas les comédies françaises à deux balles. Moi, mon truc ce sont les films noirs. Bogart et Bacall, tu vois ?
    
    Ils s’installèrent à table tout en poursuivant la conversation. Grégoire complimenta Catherine sur la cuisson de la viande et la préparation des légumes. L’alcool aidant, ils se retrouvèrent bientôt à moitié nus dans la chambre après avoir semé leurs effets dans tout l’appartement. Catherine s’apprêtait à se mettre à genoux quand Grégoire l’interrompit d’un geste. « Chacun son tour, dit-il. Allonge-toi sur le lit. » Elle obéit sans discuter avant d’écarter les jambes. Grégoire constata alors qu’elle ne portait pas de culotte.
    
    - Tu étais censé me la rendre lui dit-elle...
    
    Grégoire était déjà la tête entre les cuisses de la jeune femme. Il sourit en voyant qu’elle avait pratiquement rasé ...
    ... sa toison pubienne, à l’exception d’une petite moustache au-dessus de la fente. Catherine ferma les yeux. Elle ne voulait plus penser à rien, juste apprécier le contact de cette langue avec son intimité. Grégoire commença par lécher les grandes puis les petites lèvres pour finir par introduire sa langue à l’entrée du vagin. Il était plutôt doué et Catherine ne put s’empêcher de penser à son rêve. Elle retournait au bordel de Madame Auzoux et c’était le sculpteur qui la léchait. L’excitation montait dans son bas-ventre tant et si bien que l’homme recueillit un flux de cyprine du bout de la langue, comme s’il aspirait le jus d’un fruit. Quand il se mit à sucer son clitoris, elle jouit presqu’aussitôt, tout en se cramponnant aux cheveux de son amant. Elle était partie si loin qu’il lui fallut quelques instants avant de reprendre ses esprits. Grégoire était sur elle. Il avait profité de son bref moment d’inconscience pour la pénétrer.
    
    - Je ne prends pas la pilule…
    
    - Ne t’inquiète pas, je sais me contrôler. Je ne vais pas refaire le coup de l’autre jour. Je voulais juste connaitre le contact direct entre ma bite et ta chatte.
    
    - C’est très agréable.
    
    Ils se regardèrent dans les yeux. Grégoire l’embrassa et elle se laissa faire. Il bougeait lentement en elle et la sensation était effectivement délicieuse. Elle était restée trop longtemps célibataire et en avait presque oublié comme c’est bon de faire l’amour.
    
    Au bout d’un moment Grégoire se retira et enfila une capote ...
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