Anniversaire
Datte: 13/01/2019,
Catégories:
fhh,
anniversai,
volupté,
massage,
Auteur: Pierre B, Source: Revebebe
C’était vendredi… Le vendredi, depuis longtemps, c’était le jour où je rencontrais mon ami Paul, mon aviateur d’amant. Nous avions l’habitude de nous donner rendez-vous pour une nuit câline dans un hôtel du vieux Bastia, une simple chambre sous les toits.
Ce jour-là, Paul n’était pas comme d’habitude. Passe encore qu’il n’ait pas pensé à mon anniversaire, mais ne pas s’occuper de moi ! Je commençais à être en pétard. Remarque, il s’occupait de moi, mais pas comme à l’accoutumée. Il m’avait conduit à la salle de bains et, au lieu de m’y faire l’amour, il s’était contenté de me laver très doucement. Mon Dieu, qu’il avait les mains douces !! Il me lavait comme une mère lave son enfant, insistant même aux endroits les plus délicats de mon anatomie. Sans un mot, il enveloppa mon corps frissonnant dans un peignoir, vaporisa quelques gouttes de parfum et me conduisit par la main dans la chambre.
Dring…! La sonnette, j’eus un mouvement de recul. Paul s’approcha de moi, debout contre mon dos, déposa un tendre bisou au bas de mon cou et murmura :
— Bon anniversaire, Domi, je te présente Pierre, ton cadeau d’anniversaire !
La porte s’entrouvrit un court instant et une silhouette pénétra dans la pièce. Je compris subitement : c’était Pierre, ce correspondant un peu coquin avec qui j’avais longuement échangé des missives enflammées sur le Net. Celui avec qui nous avions maintes fois fait l’amour en pensée. Il était là. Comment Paul avait-il pu savoir ? Je l’ignorais, mais ...
... ce que je savais, c’est qu’ils étaient tous les deux au courant de mes fantasmes et là, ils m’offraient un de ceux dont j’avais tant rêvé. M’abandonner aux caresses de deux amants… Hum ! Ma respiration devint plus courte et je frissonnai de bonheur.
L’ombre s’approcha de moi, lentement, toujours sans un mot. Pfff ! Paul venait de défaire la ceinture de mon peignoir qui glissa sur le sol. Il posa les deux mains sous mes seins et les souleva, présentant ceux-ci en offrande à Pierre. Leurs mains se rejoignirent sur ma poitrine, enserrant mes seins dans un écrin de douceur. Les mains de Paul, lentement, descendirent sur les côtés de mon corps, dessinant le galbe de mes hanches, cernant l’objet de désir que j’étais devenue… Les mains de Pierre, tellement douces, se promenaient maintenant à la surface de mon corps, sur mes seins, sur mon ventre… Elles s’aventuraient maintenant sur mes cuisses, rejoignant celles de Paul, puis remontant toutes deux dans un frisson délicieux. Hummm ! Les mains de Paul glissèrent depuis mes hanches jusqu’à mes cuisses et d’une poussée douce et ferme les écartèrent. J’étais pétrifiée de désir, chaude et vibrante, humide et douce, attendant de doux assauts au plus profond de mon intimité.
Et puis… Tout s’arrêta, les mains de mes deux amis quittèrent mon corps, je sentais juste leurs souffles chauds tout près de moi. Et comme un petit point humide, presque comme une brûlure, je sentis quelque chose au bas de mon cou, non pas une, mais deux petites ...