COLLECTION HISTOIRE COURTE. Crevaison (1/1)
Datte: 13/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... que tu aimes ça.
Oui bien sur le gland, ta langue est divine, dommage que tu ne veuilles pas baiser.
Ne te tracasse pas je vais me contenter de t’avoir plotté et que tu me suces.
Belle récompense pour le dépannage.
Quand on lâche les chevaux, on lâche les chevaux.
Je quitte sa verge un peu avec regret mais mon corps s'est enflammé.
Je me relève retrouvant l'odeur mentholée de sa bouche bien que sa verge soit bien propre maintenant.
- Prends-moi, fais-moi jouir fini le travail que tu as commencé.
- Retourne-toi, met tes mains sur le capot.
Je suis trempée, jamais je n’ai autant coulé de désir.
Je sens sa main sur mon entrejambe et j’entends le bruit de ma culotte qui se déchire livrant mon intimité à toutes les turpitudes auxquelles il aspire.
Aspirer c'était quand je lui faisais une fellation.
Pénétration d’un seul trait tellement je suis dégoulinante.
Pénétration et cheveux tirés vers l’arrière pour mieux aller au fond de moi.
Tête en arrière, sexe planté au fond de mon vagin, je brame comme le cerf brame quand il veut attirer les femelles.
Dans cette forêt je suis les femelles, je suis la femelle.
J’ai eu du mal à transcrire en mots le bruit des voitures passant, des phares se font voir venant de mon village.
Ouf elle passe semblant ne pas nous voir.
J’ai du mal à transcrire mon râle lorsqu’un orgasme dévastateur monte vers mon cerveau.
La nuit est déchirée par mes cris de plaisir avant que mon vagin soit rempli d’un ...
... bon sperme chaud.
- Tu vois, dès que je t’ai vu dans ta détresse, j’ai senti que le sexe te manquait.
Je le vois rentrer sa queue à mon grand désespoir, mais il a raison, les amusements surtout sexuels ça va un temps.
- Je vais reprendre ma route te suivant jusqu’à ton village avec dans ma rétine la belle salope que tu es.
Ton mari a de la chance de t’avoir épousée.
Je suis à deux doigts de rire nerveusement.
S’il avait parlé de mon mari comme je l’ai dit tout à l’heure comme il vient de le faire maintenant, il aurait eu ma main dans sa figure et à cette heure, je serais lovée dans les bras de Christian.
Sans un regard il me quitte et monte en voiture.
- Je te suis, je te laisserais dès l’entrée de ton village, merci.
Il le fait, au panneau la route est assez large.
Il me double donnant un coup de klaxon risquant de réveiller une partie du village.
Un signe de la main, dernier coup d’accélérateur.
Dans mes phares j’ai le temps de voir sa plaque 74.
74 Haute-Savoie.
Haute-Savoie, là ou habite ma fille avec mon gendre et mes deux petits enfants.
Nous y allons souvent avec Christian.
Qui sait, un jour je le croiserais et nous aurons envie de remettre le couvert.
En attendant, j’entre sans faire de bruit.
Les ronflements de Christian me font voir qu’ici alors que je me débattais avec ma roue dans la forêt, pas la moindre inquiétude sur ce qu’il pourrait m’arriver.
C’est un peu le vague à l’âme, je sens que je reviens à la ...