1. Stéphanie est une bonne salope ! Une sacrée salope


    Datte: 13/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Première fois Partouze / Groupe Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... !
    
    J’agite plus encore entre les fesses et, en doublet, le salaud qui m’encule entre encore plus profondément en moi, je sens alors une nouvelle vague venir, un orgasme fuse impérieux dans mon rectum.
    
    Déjà une onde déferlante vrille mes entrailles, rayonne dans les fibres de mon corps. J’essaye tant bien que mal de la juguler mais les deux hommes ne sont pas encore arrivés au bout de moi-même. Leurs pieux de chair continuent leur lente progression dans mes tunnels intimes, percent mes défenses, investissent mes recoins. Il faut que je tienne jusqu’à la porte ultime…
    
    Soudain, une voix rauque retentit dans la brume chaude dans laquelle je suis plongée :
    
    — Ah c’qu’on est bien comme ça ! C’est l’pied intégral !!
    
    Une autre voix mâle lui répond aussitôt :
    
    — J’te l’fais pas dire ! Baiser d’la sorte, je r’commencerais ça sans problème tous les jours !
    
    — Y a pas à dire, mais les salopes, y a rien de meilleur ! Enfin, si vous me permettez l’expression, chère Stéphanie…
    
    Amusée par cette répartie, mais néanmoins au bord de l’explosion, je réponds quand même :
    
    — Permettez-vous… permettez-vous…
    
    C’est vrai qu’on traite rarement de « madone » une femme qui s’envoie en l’air avec deux hommes qu’elle ne connaissait même pas il y a moins d’une heure. Et comme ni la religion ni la société n’ont admis les trios comme étant une des normes légales… Stephen profite de la permission que je viens de donner, il chantonne presque :
    
    — Stéphanie est une bonne salope ! Une ...
    ... sacrée salope ! Et j’adore les salopes comme elle !
    
    Sous ces mots crus et spontanés, sous ces coups de boutoir, des flashes puis une onde de choc extraordinaire me percutent de plein fouet ; c’est bien l’une des premières fois que j’ai un tel orgasme !
    
    Un raz-de-marée tempétueux me balaye, m’emporte, explose en ricochet dans mon corps en folie : l’ultime porte s’est ouverte, fracturée par deux intrus qui me pistonnent, me possèdent, me partagent et m’exploitent. Je sens distinctement dans la tourmente qui m’emmène leurs chairs en moi occuper tout mon espace, leurs jets chauds et gluants qui tapissent mes grottes cachées, leurs frictions qui échauffent mes sens, leurs va-et-vient qui me font osciller, ballotter mes seins et mes fesses comme une poupée dans les mains des horripilants mais adorables voyous que sont mes deux amants.
    
    Alanguie, je reste affalée sur le corps de l’un, couverte du corps de l’autre. Une sensation délicieuse, pas très morale mais exquise. C’est surprenant et merveilleux de les sentir faiblir en moi, qu’ils soient, à la fois autour et au-dedans. Amusée, dans une semi-inconscience, je songe que comme je ne suis pas morte, il faudra réessayer et le plus vite possible. De nouvelles perspectives s’offrent à moi…
    
    Je suis rompue, ils se retirent délicatement de moi, je roule sur le dos, béate, les bras en croix, les jambes écartées, impudique à souhait. Ils s’approchent, m’entourent. D’un simple signe, je demande d’approcher plus encore puis je les ...