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    Datte: 12/01/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... Il fait nuit, on t’accompagne.
    
    — C’est sympa, merci.
    
    Je me mets entre eux, chacun me donne un bras. Ces garçons ont une certaine éducation.
    
    — Merci Messieurs, allons d’un pas alerte et guilleret.
    
    Ma démarche fait sauter l’arrière de ma jupe à chaque pas, ce doit être un régal pour mes suivants qui sont malheureusement rares. Une fois devant chez moi, ils me laissent. Je dépose une nouvelle fois un baiser rapide sur leurs bouches.
    
    — Vous êtes des gentlemen messieurs, ça devient rare par les temps qui courent.
    
    Je rentre chez moi complètement lessivée. Après une douche et un repas rapide, je me couche pour m’endormir immédiatement le corps apaisé et repu, mais en pensant à la jolie Julie.
    
    Ce matin, lever à sept heures, après un passage à la salle de bain de trois quarts d’heure, je sors pour acheter de quoi petit-déjeuner en jupe et débardeur. Il fait déjà assez chaud, ma boulangerie habituelle est fermée le dimanche, je dois aller un peu plus loin. Aujourd’hui, ce n’est pas une brise, mais un léger vent, ma jupe est constamment à l’horizontale et mon débardeur gonfle, ne protégeant plus mes seins des regards indiscrets, ce qui, entre nous, ne me dérange pas. Je songe à aller me changer, mais voyant qu’il n’y a pratiquement personne à cette heure matinale du dimanche, je décide de rester comme ça. Arrivée à la boulangerie, je me mets dans la file, il y a cinq personnes. Arrive derrière moi une femme dans les soixante ans avec un magnifique chien blanc ...
    ... tacheté de noir, une sorte de dalmatien mais beaucoup plus costaud. Il a l’air très gentil et doux. Je le regarde et pose ma main sur sa tête pour le caresser.
    
    — C’est un pointer, un chien de chasse, il est très gentil.
    
    — Je l’avais remarqué.
    
    Le chien se colle à moi, il demande encore une caresse. Je lui caresse la tête une ou deux fois puis le laisse et regarde les pâtisseries. Soudain, je sens quelque chose d’humide qui se glisse entre mes cuisses, remonte et s’en va. Je me retourne, la femme me regarde d’un air contrit.
    
    — Excusez-le mademoiselle, c’est un chenapan.
    
    — Rien de grave.
    
    Je me retourne vers le sens de la file quand cette fois-ci, c’est un coup de langue qui se glisse entre mes cuisses et me parcourt toute la raie des fesses. Je me retourne un peu fâchée, mais la tête de la femme me déconcerte et ma colère tombe d’un seul coup. Je pense tout de suite à un chien dressé par des zoophiles.
    
    — Il est dressé n’est-ce pas ?
    
    — Oui, j’ai du mal à le maîtriser, il est à ma fille.
    
    — Je vous attends dehors, vous pouvez m’accorder quelques instants ?
    
    — Oui, bien sûr.
    
    Je prends mon pain et un croissant, paye et sors pour l’attendre dehors. Quand elle sort, je l’aborde.
    
    — Vous pouvez venir jusque chez moi, j’habite à côté.
    
    — Oui, pas de problème.
    
    Elle m’accompagne jusque chez moi. Ma jupe vole toujours.
    
    — Magnifiques fesses, j’ai envie de les caresser.
    
    — Ne te gêne pas.
    
    Une main glisse sur mes fesses deux secondes.
    
    — Super, j’aime ...