1. Ma femme comble ses fantasmes et mon côté candauliste


    Datte: 12/01/2019, Catégories: extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme ffontaine, Oral fdanus, jeu, Auteur: Hiram69, Source: Revebebe

    ... nous étions quelque peu libertins nous aussi. Évidemment, Pascal répondit immédiatement qu’il aimerait la revoir…
    
    Virginie me fit part de tout ça, et nous avons convenu d’une date pour l’inviter chez nous. Je lui demandai entretemps de continuer à le séduire et de faire monter la température… Virginie me répondit,
    
    — Compte sur moi, mon chéri : vous allez en avoir plus que vous ne pensez, tous les deux…
    
    Sur ce, elle proposa une date à Pascal en lui envoyant une photo d’elle de dos, uniquement vêtue d’un string noir, avec comme légende « hors-d’œuvre. »
    
    Le rendez-vous était fixé pour le samedi soir suivant. Entretemps, Virginie interrogea Pascal sur ses préférences ; il lui fit part de son amour pour le mélange subtil entre classe et porno.
    
    Nous étions excités autant l’un que l’autre, et nous avons décidé de ne plus nous toucher pendant les quatre jours restants afin de faire encore monter la tension. Virginie s’empressa de communiquer à Pascal qu’elle se « réservait » pour sa venue, ce qui l’excita au plus haut point lui aussi.
    
    —ooOoo—
    
    Le samedi suivant arriva. Nous avions prévu un souper avec des huîtres en entrée et un homard pour suivre. Virginie et Pascal seraient assis l’un à côté de l’autre, face à la grande fenêtre du jardin, et moi en face d’eux.
    
    Déjà 18 heures ; dans deux heures, notre ami allait arriver.
    
    — Je vais m’habiller en votre honneur à tous les deux.
    — Et que vas-tu porter ?
    — Chuuut… surprise ! Tu sais que j’ai énormément de ...
    ... vêtements coquins ? Merci,Luxxa etEva Luna ; patience…
    
    Nous décidâmes de faire « salle de bain à part » ; je pris celle de la chambre d’amis afin de lui laisser toute l’intimité pour se rendre désirable.
    
    À 19 heures, j’étais habillé d’une chemise blanche et d’un pantalon en flanelle, comme elle aime ; je l’attendais entre notre salon et notre bar. Vingt minutes plus tard, j’entendis le bruit typique de hauts talons descendant l’escalier, et Virginie m’apparut comme issue d’un film d’Andrew Blake : chemiser blanc corsaire qui s’échancre au moindre mouvement, mini-jupe noire en tissu décoré de fines bandes d’un beau cuir italien, bas noirs et escarpins à talons très hauts. En un instant, mon sexe se trouva être fort à l’étroit dans ce pantalon pourtant pas spécialement moulant.
    
    Je voulais en savoir plus sur les détails et je lui demandai de me montrer ce qu’elle avait en dessous…
    
    — Non, mon chéri : tu ne verras rien avant lui. Comme je te l’ai dit, je me réserve pour lui… en premier ; mais tu peux savoir que j’ai un de mes soutiens noirs en cuir moulant, ceux que l’on appelle « demi-sein » et qui laissent les tétons nus. Le slip est assorti, moulant et… ouvert par une mignonne fermeture Éclair.
    — Et les bas ?
    — Jarretelles noires, mon amour…
    
    Je ne pus que répondre par un sourire émerveillé ; et lorsqu’elle passa près de moi, elle effleura mon sexe en me disant :
    
    — Quelle belle preuve d’amour, mon chéri, mais sois patient : ce soir, je baiserai d’abord avec un ...
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