1. Les lycéennes, ces salopes #1 Laure


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Tom Imoral, Source: Hds

    #1 Laure
    
    Je vais vous raconter un vendredi après midi saisissant qui s’est déroulé l’été de mes dix-sept ans. J’allais chez une amie, dont le nom change pour devenir Laure. J’allai donc chez elle en vélo sous un soleil de plomb. Lorsqu’elle m’ouvrit, j’eus la surprise de voir qu’elle ne portait qu’un tee-shirt moulant qui lui arrivait mi-cuisse. Après m’avoir salué, elle me fit entrer.
    
    - Je t’attendais, me sourit-elle. Ça faisait un bail que l’on ne s’était pas vus.
    
    - Oui, environ trois jours, quatre heures et dix-huit minutes, plaisanta-je.
    
    - T’es con, rit-elle. T’as faim ? Je m’apprêtais à prendre un goûter.
    
    - Pourquoi pas ? Il n’y a pas d’âge pour manger un goûter.
    
    Lorsqu’elle me tourna le dos pour avancer, je vis que son tee-shirt était transparent, dévoilant sa culotte plutôt courte, ne cachant qu’une infime partie de ses fesses magnifiques. Après avoir mangé le fameux goûter, nous sommes allés nous asseoir dans les fauteuils du canapé où parlions de tout et de rien. Je sentis qu’elle était troublée : elle se passait sans arrêt la main dans les cheveux, évitait mon regard et croisait et décroisait les jambes. À un moment, elle fit tomber ses clés avec lesquelles elle jouait nerveusement. Elle se leva et se pencha pour les ramasser, tendant son cul à peine couvert vers moi. Fasciné par ses formes, je ne pus en détacher mon regard tout le long de la descente et de la remontée. Je vis qu’au niveau des lèvres, la culotte rose était trempée. Je compris enfin ...
    ... la source de son trouble ; elle était en manque. Son copain était parti depuis plus d’un mois en vacances et le manque de sexe commençait à devenir ingérable.
    
    Troublée par mon regard lorsqu’elle se rassit, elle s’excusa et prétexta avoir un besoin urgent pour quitter la pièce. Elle alla aux toilettes, tandis que je me souriais à moi-même. Une occasion inouïe de m’envoyer en l’air se présentait et j’allai la saisir à pleines mains. Son copain ? Je le détestais et qu’elle reste avec ce con m’horrifiait. Ma conscience ? Je m’arrangerai avec elle plus tard. Ma copine ? Elle n’en saura rien.
    
    Lorsque Laure revint, le regard plus assuré qu’à son départ, et se rassit, je lui demandai s’il y avait quelqu’un d’autre que nous chez elle.
    
    - Non, mes parents et mes frères sont partis passer un week-end à Paris. Je suis toute seule jusqu’à dimanche soir, conclut-elle en souriant.
    
    Nous continuâmes à parler de nos sujets habituels tandis que sa nervosité revenait au galop : coiffage incessant de cheveux, tripotage permanent de son trousseau de clé, mouvements réguliers de jambes, chute des clés. Elle se releva pour les ramasser. Comme la première fois, je pus admirer son fessier parfait, à la différence près que cette fois-ci, elle ne portait plus sa culotte trempée. Surpris, je contemplai donc ce cul rebondi et sa fente brillante de mouille avec envie. Elle se redressa et se retourna, surprenant mon regard. Elle me fit un clin d’œil puis se rassit en écartant les cuisses. La vue ...
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