1. UN ÉTÉ TRÈS CHAUD


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Anal Lesbienne Première fois Auteur: chitmania, Source: xHamster

    ... véritable écrin de velours autour de mon gland durci par l’immense excitation qui m’envahissait. Les baisers qui suivirent, mêlant salive et mouille suave, achevèrent de nous saouler de désir, et c’est le moment qu’elle choisit pour me chevaucher et guider mon sexe en elle. Elle s’y empala jusqu’à la garde, me fixant du regard. Comme hypnotisé par ses yeux de féline, je saisis ses seins lourds dans mes mains ; grâce aux mouvements de son bassin je n’avais même pas besoin de bouger mes mains pour masser ses deux sublimes mamelles, qui bougeaient dans le rythme de ses ondulations.
    
    Quelques gouttes de pluie ont alors commencé à tomber, mais nous étions trop occupés à goûter ce moment que pour nous en soucier. Au contraire, elle se mit à me baiser encore plus énergiquement dès que le premier éclair zébra le ciel. On eut dit que tous les dieux de l’Olympe avaient décidé de photographier nos ébats, flashant de plus belle alors que le tonnerre commençait à gronder ! Frissonnant à chaque goutte de pluie qui coulait dans son dos, Bella décida de changer de position et m’invita à la protéger de mon corps. Allongée sur le dos, elle m’ouvrit ses cuisses si largement que je compris en un clin d’œil la caresse qu’elle attendait. Mon gland déjà bien lubrifié par sa mouille abondant n’eût aucune peine à se frayer un chemin dans l’étroit conduit de son anus. Elle gémit un peu au moment où toute sa tête disparut entre ses fesses, puis je poussai délicatement et très progressivement mon sexe jusqu’au plus profond de ses entrailles. L’orage redoubla alors d’intensité, comme si les dieux avaient décidé de désapprouver cette position pourtant si terriblement excitante. Et c’est finalement sous une pluie chaude et battante que Bella m’invita à remplir sa bouche d’une longue et puissante rasade d’un sperme chaud et abondant.
    
    C’était le dernier jour de ma mission de saisonnier à la ferme.
    
    Le vieux Ramedillis me remit ma paie ce soir-là, et je n’ai plus jamais revu la torride Bella
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