Educatrices Ch. 05
Datte: 11/01/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
Coulybaca - Texte personnel.
Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 5 : Elargissement du cheptel.
Obéissante, Françoise postula au poste vacant d'éducatrice de week-end, sa candidature fut immédiatement retenue, ce poste n'étant convoi-té par personne, elle devait donc prendre son nouvel emploi du temps dès cette semaine.
Les explications, à la maison furent fort simples, elle exposa à son mari que, ses rentrées le soir se faisant de plus en plus tardives, cette oppor-tunité lui permettrait de veiller sur les enfants la nuit tombée, de les aider pour leurs devoirs.
Tandis que le week-end il se chargerait d'eux, ou le cas échéant ils se-raient confiés à leurs grands parents.
Cette solution présentant effectivement de gros avantages pour la vie du foyer, son mari, aveugle, la félicita de cette initiative.
Une coïncidence fortuite devait accélérer le processus de soumission des deux gouines : le bébé de sa voisine étant malade, Françoise la conduisit à la pharmacie, et à sa grande surprise se trouva confrontée à la femme dont elle avait remarqué la photo chez Sylvie, blonde, distin-guée, la belle quarantaine entretenue, la pharmacienne était loin de se douter de l'intérêt qu'elle provoquait.
La voisine, qui se fournissait toujours dans cette pharmacie, renseigna Françoise qui la questionnait habilement.
Madame Delcroix avait épousé le pharmacien, ou plutôt la pharmacie, ce qui, disaient les mauvaises ...
... langues la mettrait à l'abri du besoin le mo-ment venu, mais avec la pharmacie, elle avait du accepter la compagnie du pharmacien, âgé de soixante ans, prude, rigide, conformiste.
Si son époux, jaloux comme un tigre, lui interdisait toutes fréquentations masculines, conscient de son incapacité à meubler la vie sociale d'une femme encore jeune, il l'autorisait, en tout bien tout honneur, à fréquen-ter des femmes de son age avec lesquelles elle se livrait à de fréquentes escapades, prenait des vacances, se distrayait en dehors de la présence contraignante du mari.
Françoise compléta intérieurement le tableau, estimant que le pharmacien, ne devait pas se douter des activités de sa femme qui semblait confondre jeux de société et jeux de dames.
Presque la caricature de la femme mariée encore jeune, par intérêt, avec un époux nettement plus âgé, qui évidemment avait encore vieilli, la dif-férence d'age et d'activité ne faisant qu'accroître l'isolement, voire la ran-cœur de la femme épanouie qu'elle était devenue.
Rien de surprenant à ce qu'elle satisfasse ses appétits en dehors du couple conventionnel qu'ils semblaient former.
Rien de plus évident qu'elle se devait de cacher sa vie clandestine, le rapport de la voisine évoquant un précoce vieillard aigri, plus soucieux de la bonne marche de son affaire que de la vie affective de sa parte-naire qu'il négligeait, mais imbu de sa personne au point de provoquer un drame si le moindre soupçon au sujet de la vertu de sa ...