1. Le stage d'Elodie 5


    Datte: 11/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: xsoumise, Source: xHamster

    ... est ceinturé lui aussi par une chaîne. Me voilà , à l'extérieur complètement nue et entravée sans aucune possibilité de m'échapper. La geôlière me tend une petite bouteille d'eau que j'engloutis rapidement. Ma pause se passe ainsi toujours sous la surveillance de la maîtresse. J'ai un peu de liberté de mouvements mais ils sont quand même très restreints. Au bout d'un moment je sens une envie d'uriner qui me tiraille et je demande à la geôlière de pouvoir m'éclipser pour satisfaire mon besoin. La seule réponse que je reçois c'est de faire là ou je suis. Je suis donc obligée de m'accroupir là près de l'arbre et de me soulager ainsi exposée à la vue de tout le monde. La pause prend fin avec un nouveau coup de sifflet, la Maîtresse me détache je renfile très prestement ma tenue et je me remets au travail. A midi la charrette est pleine mais moi je n'ai débarrassé que la moitié de la surface environ. Nouvel arrêt, cette fois nous rentrons toujours enchaînées cela va de soi maintenant et direction les geôles. Je suis contente que l'on ait une pause maintenant et nous pourrons manger même si la pitance n'est pas bien présentée au moins cela comble nos estomacs. Entre midi nous gardons même dans notre cellule les entraves de pieds. Nous sommes juste détachées des menottes. Nous attendons notre pitance comme la veille.
    
    En début d'après midi, cela doit faire maxi une heure que nous sommes dans la cellule, le couple revient afin de nous faire rejoindre à nouveau notre lieu de ...
    ... travail. Et c'est donc reparti avec toujours les menottes la laisse et bien sur les entraves de pieds qui sont bouclés depuis ce matin. Nous retournons au même endroit afin de continuer. F536 va vider la charrette pendant que je commence à ramasser puis une fois le retour de la charrette je commence à la remplir. Et F536 disparaît à nouveau. Pendant tout l'après midi je ne la vois absolument pas. La geôlière est toujours à me surveiller mais cela ne me fait pas grand chose car j'essaie de m'immerger dans ma tâche à accomplir. Puis à nouveau au bout d'un certain temps un coup de sifflet. Je me redresse et vois ma Maîtresse me faire signe de m'approcher ce que j'exécute rapidement connaissant déjà la suite. Le rite se déroule de nouveau mise à poils, tendre les poignets laisse et connexion à l'arbre. A nouveau 10 minutes de pause et une petite bouteille à boire. Cela ne fait pas beaucoup et ce n'est pas vraiment facile de boire ainsi entravée mais c'est notre vie actuellement donc il faut bien s'y adapter. Je reprends le cours de mon travail après la fin de la pause et ainsi jusqu'à ce que le coup de sifflet retentisse à nouveau pour nous signaler la fin de la journée de travail. Je suis fourbue mais au moins contente de ne pas avoir été enfermée toute la journée entre les quatre murs de la cellule. J'ai eu l'occasion de respirer de me dépenser et même si j'ai été entravée par les chevilles en permanence cela va pas trop mal. C'est une question d'habitude et c'est tout à fait ce que ...